Messages par tarak93


    +1000;espérons qu'ils se soient mis d'accord sur les grandes lignes de la nouvelle constitution.




    L'UGTT est le gros danger pour notre jeune démocratie avec Jrad(voir les différentes grèves).




    http://www.tunivisions.net/enn…bdessalem-jrad,14375.html

    Rached Ghannouchi à Alger : «Je ne suis pas venu exporter la révolution, mais un modèle»




    Nous voulons exporter un modèle qui préserve l’islam de l’étiquette de terrorisme, de l’extrémisme et de fanatisme. Nous ne voulons pas d’un islam qui nie la démocratie et les beaux arts», a lancé, hier, Rached Ghannouchi lors de sa rencontre avec le président du MSP, Bouguerra Soltani, au siège de son parti à Alger.




    Le chef du parti tunisien Ennahda n’est ainsi pas venu en Algérie exporter «la Révolution du jasmin», mais plutôt pour vendre ce qu’il qualifie de «modèle tunisien naissant». «Notre modèle est fondé sur un mariage entre l’islam et la démocratie et la modernité. Nous voulons présenter un modèle serein qui serait un bien pour tout le monde», a-t-il soutenu. Pour convaincre, il met en avant la toute récente expérience dans son pays, où les trois partis politiques – Ennahda, Attakatoul (Forum démocratique pour le travail et les libertés) et le Congrès pour la République (CPR) – aux doctrines fort divergentes s’apprêtent à constituer un gouvernement de coalition et à partager le nouveau pouvoir pour une période de transition.




    «La Tunisie, qui a vaincu le régime policier, est à l’étape de la construction de l’Etat avec un gouvernement de coalition dirigé par Ennahda en alliance avec deux partis importants et militants qui sont le CPR, du docteur Moncef El Marzouki, et Ettakatoul, de Mustapha Ben Jaafer. Une alliance qui ne date pas d’aujourd’hui, nous avons milité ensemble contre la dictature, les prisons et les exils nous ont réunis. Cette alliance est la consécration de ces luttes», a souligné Rached Ghannouchi. Invité par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, pour une visite de trois jours, M. Ghannouchi a déclaré que «la révolution tunisienne n’est pas exportable, et si elle l’est, elle ne serait pas vers l’Algérie qui dispose d’un héritage révolutionnaire». Manifestement à Alger, le leader d’Ennahda ne veut pas jouer au trouble-fête. L’Algérie, à ses yeux, n’a pas besoin de faire une révolution, à l’instar des autres pays arabes. Bien au contraire. M. Ghannouchi a dit être venu tirer bénéfice de l’expérience algérienne en matière d’exercice politique. «Nous avons tant besoin d’expérience algérienne en matière de pratique démocratique.» Profonde conviction à l’endroit de l’Algérie ou est-ce seulement une attitude assez commode qui vise à ne pas gêner, lui qui a tant décrié le régime de Ben Ali ?




    «Je visite l’Algérie suite à l’invitation de mon cher ami Abdelaziz Bouteflika que j’ai connu pendant les années dures et avec qui nos relations se sont poursuivies», a-t-il déclaré. Il est à rappeler que le chef du parti islamiste tunisien a vécu ses premières années d’exil en Algérie, avant d’être prié de quitter le pays au début des années de terrorisme. Le leader de la première force politique tunisienne se veut rassurant. Habile, il évite soigneusement d’apparaître comme un vainqueur arrogant. M. Ghannouchi dit vouloir défendre une vision selon laquelle la religion cohabite avec la démocratie et la modernité sans exclusion.




    Par ailleurs, il a confirmé l’accord auquel sont parvenues les trois premières forces politiques de son pays pour «la répartition des trois présidences». «Nous sommes parvenus à un accord final qui sera annoncé dans deux jours. Hamadi Jbali de Ennahda sera le chef du gouvernement, le docteur Moncef El Marzouki du CPR sera le président de la République tunisienne et la présidence de l’Assemblée constituante revient à Mustapha Ben Jaafer du FDTL», a confirmé M. Ghannouchi. Une alliance qui paraît contre nature pour certains, mais une prouesse politique pour d’autres qui voient en elle une nécessité historique pour réussir la transition démocratique. Rached Ghannouchi exposera sans doute son modèle à Abdelaziz Bouteflika qui le recevra, aujourd’hui, en audience officielle




    http://www.elwatan.com/actuali…21-11-2011-148051_109.php


    +1000




    On est juste un pays en voie de développement;il faut pas se voiler la face le travail des enfants existe mais ça n'est pas de l'exploitation.

    ousta a écrit:

    et tu as la nationalité tunisienne au moins pour pouvoir discuter avec nous ? :whistling:


    p.s. : j'ai beaucoup d'amis du kef et ce sont des gens qui ont de l'humour d'habitude


    AigleTaraji Tounsy wa sidi rjel :bien: noktaq kenet masta wa khlas 7asilou seyeb el rajel.




    Sinon de façon plus sérieuse:Ettakatol aurait les postes de la Justice, des MAE et de la présidence de l'assemblée constituante.


    http://www.tap.info.tn/fr/fr/l…nouveau-gouvernement.html


    Le gouvernement provisoire a été élu et n'a pas la marge de manoeuvre pour agir?Par contre le gouvernement de transition (avec Béji Caid Sebsi et cpie) qui n'a pas été élu se permettait de faire des emprèts au nom de l'Etat...Mouch ma39oul.




    Yakhi on va attendre jusqu'aux prochaines éléctions pour agir??Ceux qui sont pas contents sanctionneront ce gouvernement dans un an aux éléctions et puis c'est tout.


    Sérieux c'est annulé??




    Il y a un truc que je comprends pas,En Nahda ,le CPR et Etakatol ont été élus oui ou non?,qu'est-ce qu'ils s'en foutent de ce que racontent les autres?Et comment les autres partis font pour pouvoir entraver des iniatives de la majorité?

    momo2006 a écrit:

    Merci pour l'info, et moi qui cherchai depuis longtemps l'origine des ibadites de Djerba, là je comprend mieux




    PS: ce sont des Khawarej pour info


    Ouais ce sont des khawarej et c'est pas une surprise que beaucoup d'entre eux se soient retrouvés très tot fil Nahda.


    Mème si dans le dogme il y a de grosse différence entre les Malékites et eux;dans la pratique à part le fait de ne croiser ses mains lors de la récitation des sourates lors des Salats,il n y a pas beaucoup de différences.Ca reste une communauté très stricte niveau Din et fi Jerba,ils continuent de se développer(construction de mosqués,des Malékites deviennent Ibadites,etc).Mème s'ils ont mis de l'eau dans leur vin,il y a 15 ans en arrière ils ne laissaient pas prier un Malékite avec eux car ils considéraient que ça annulait leur prières...Le discours de certains Malékite à leur égard s'est également adouci;tant mieux ça crée moins de fitna entre musulmans.




    Et désolé pourr le HS.

    KoniJanana a écrit:

    oui mais ils ne représentent pas les vrais berbères , Free a Paris et en france tu ne trouve que les berberes dans les mosqués , ce sont les commerçant , les gens de restaurationici des gens simples travaillent bcp , n'ont aucun lien avec le sommet de amazigh ou je ne sais pas , ca me rappelle de El fani la france l'accueille comme representant de la Tunisie mais elle ne represnete qu'elle meme


    +1.Une communauté très tranquille qui cherche vraiment pas les emmerdes.




    A Paris la majorité des berbères Jerbiens sont Nahdaouis.Tous les ans (courant Mai) une association Jerbya organise un tournoi de foot à La Courneuve et les équipe de berbères de Guellala et Ajim y jouent ;pour l'anedocte l'an dernier le tournoi a été annulé faute d'encadrements car la majorité des organisateurs a pu rentrer au pays suite à la chute de Ben Ali.A noter qu'il y a beaucoup de Musulmans Alabadia (ibadite)dans la communauté berbère ,cet Islam est moins présent chez les Arabes Jerbiens(à majorité Malékite)


    J'ai jamais entendu parler de Najjar(si tu as des liens;fais-nous le connaitre) par contre Abou Yaareb Marzouki est très connu et n'est plus à présenter.Tbarkallah avoir un mokh pareil au sein de notre communauté devrait ètre un motif de fierté pour tous les Tunisiens. :D9: Avec son charisme,je le voyais ailleurs.Mais c'est vrai que son projet est très important pour la société TN et c'est le plus qualifié pour le mener à bien.




    Pour Dilou,Inchallah que tu dises vrai et qu'il réussise.Par contre je suis surpris que tu parles du ministère de la culture;ça serait plutot l'Intérieur le plus sensible.La capacité de nuisance du PDM est limité (à part faire des grèves,créer des fausses polémiques,etc)je vois pas trop ce qu'il pourrait faire de plus.Par contre du coté du ministère de l'Intérieur;ça reste le fief des RCD avec ses forces et de plus transformer une police corrompu et bestial en police un peu plus normal ne sera pas une mince affaire...


    Effectivement...On a la mème lecture.




    Sinon d'après Webmanager Samir Dilou serait présenti au ministère des affaires étrangères;autant c'est clair qu'il mérite un poste dans le gouvernement autant lui confier les clé d'un ministère aussi sensible que les MAE me parait risqué car dans sa façon de parler,il a un style assez direct et de plus on dirait plus un militant qu'un homme d'Etat(sans compter qu'il est jeune pour un tel poste),non?Surtout quand on voit qu'un grand Homme comme Abou Yaareb El Marzouki se contenterait juste de l'Enseignement supérieur...

    TTC a écrit:

    Vous croyez que les algériens ont été surpris?


    Salam,




    Qui pouvait s'attendre à la révolution TN?Ti 7atta a7 twensa on s'y attendait pas




    Après c'est sur qu'ils se doutaient bien du résultat des éléctions TN.


    Si t'as des sources plus fiables,je suis preneur ;) ; en tous les cas on verra vite qui dit vrai entre webmanager et Kapitalis pour la composition du gouvernement(au plus tard Samedi d'après le représentant du CPR qu'on vu hier à la TV)




    Sur le fond j'ai le mème avis que toi; je suis aussi plutot optimiste (de la bonne gouvernance(lutte contre la corruption et le racket) et l'arrivée de nouveaux investisseurs devraient suffir pour améliorer les choses) mais je suis juste plus nuancé je ne crois pas au plan miracle;le contexte nationale et internationales nous sont clairement défavorables(pour les raisons que tu as évoqué).Surtout vu les attentes du peuple(au passage saluons El Hachmi pour sa démagogie)qui sont énormes.




    Sinon j'ai pas l'impression qu'on ait parlé sur ce forum des relations avec notre voisin de l'Ouest et également des relations qu'entretiennent En Nahda avec les différents formations islamistes DZ.Wa Allahou A3lam vous en avez peut-ètre parlé il y a plus longtemps et c'est moi qui ait zappé (j'ai juste lu les interventions des 2/3 derniers jours) dans ce cas sam7ouni :hi:

    moha013 a écrit:

    Bonjour tarak et bon retour à toi.




    Je ne vois pas au est-ce que s'arrête l'article que tu as posté de Kapitalis ? Le but ?


    Salam,




    Le but est de discuter économie (notre révolution est avant tout sociale);Kapitalis me parait ètre une source sérieuse (au passage ils contredisent les fuites gouvernementales émise par webmanager qu'a diffusé hier Freerider) et cette article évoque notamment les relations commerciales qui risquent d'ètre compliquer pour nos entreprises TN sur le marché DZ;une entreprise aurait fermé sur ce marché d'ailleurs et le gouvernement DZ a l'air de ne pas trop apprécié les récents changements fi bledna(pour des raisons évidentes de politique intérieur DZ)




    Après on a la chance d'avoir la Libye qui est à reconstruire et Tounès ne manque pas de bras.7asilou cette article parle aussi bien d'économie étrangère que nationale et me paraisait ètre interressant.

    Salam,




    Puisque ça a l'air d'ètre la journée des retours et mème si je n'ai jamais été un forumiste très actif sur ce forum.




    A l'époque ou je venais souvent vous lire(il y a 5/6 ans)le manque de respect entre forumistes m'a éloigné de TF;j'ai préféré rester discuter foot TN sur un autre forum de foot avec un ancien de chez vous (GAD).




    Maintenant d'après un forumiste que je connais sur ce forum de foot;ça a changé et vu ce topic;ça mérite qu'on y participe.


    PS/Je n'attaque pas du tout les modo de TF;je sais très bien la difficulté de la tache :yes: .




    Pour entrer dans le vif du sujet:




    http://www.kapitalis.com/fokus…-ou-nous-menera-t-il.html




    Samedi dernier, c’était au tour des membres du Cjd de débattre avec les dirigeants d’Ennahdha du contenu de leur programme économique.




    Par Aya Chedi




    Le Centre des jeunes dirigeants (Cjd) avait invité ses membres à une assemblée générale élective, mais aussi et surtout à une réunion avec certains membres du parti islamiste Ennahdha, vainqueur des élections de l’Assemblée constituante, le 23 octobre, et à leur tête le secrétaire général du parti, Hamadi Jebali.




    Les applaudisseurs au rendez-vous






    Il fallait, diraient certains, s’attendre à un débat riche et à un déluge d’informations et de précisions. Mais l’impression que nous relevons ces derniers temps l’emporte encore une fois.




    Au cours de la majorité des réunions auxquelles des membres d’Ennahdha participent, certains des présents engagent une euphorie d’applaudissement sans arrêt, et sans raison apparente. N’étaient-ils là que pour applaudir ? La tâche pour laquelle ces «gens» ont été «recrutés» consistait-elle à engager ces vagues d’applaudissement qui ne sont, à vrai dire, qu’une nuisance sonore n’avançant pas l’intelligence de la situation dans le pays ? Nous l’avions déploré au cours de précédentes réunions, et nous souhaitons que cela s’arrête. Car ces applaudissements nous rappellent ceux qui entrecoupaient les discours de l’ex-président Ben Ali.




    Revenons à cette réunion à laquelle le principal invité, Hamadi Jebali, avait assisté mais tout en ratant sa majeure partie, puisqu’il était «de passage avant d’aller au Palais présidentiel», et qu’il ne voulait «rater aucune occasion pour interagir avec les différentes parties de la société civile tunisienne, notamment les jeunes dirigeants, sur lesquels on compte beaucoup pour relancer l’investissement». Une réunion à laquelle ont pris part Ridha Saidi, membre du bureau exécutif du parti Ennahdha, chargé des Etudes et de la Planification ainsi que du Programme économique du parti, Bechir Jaouadi, membre du parti et conseiller économique, et Ridha Skondali, universitaire et conseiller économique du parti.




    Demande sociale et besoin de transparence






    Après les introductions d’usage, devenues coutumes : la révolution et ce qu’elle a apporté à la Tunisie, on a essayé d’attaquer le vif du sujet. Même si celui-ci n’avait pas été défini. Selon Ridha Saidi, «la révolution a apporté un nombre de demandes populaires : il ne s’agit pas seulement de demandes purement politiques, il y a aussi des demandes d’ordres social et surtout économique. Ceci sans oublier le besoin de transparence et de bonne gouvernance». Et il semble que l’on n’arrêtera pas de le répéter du côté d’Ennahdha. A chaque fois que l’occasion est propice, les dirigeants du parti islamiste insistent sur leur option pour «l’économie libérale, l’économie du marché. Une économie qui donnerait à l’Etat un rôle pour orienter l’économie, tout en permettant d’adopter des lois afin de faciliter l’acte d’investissement». Selon Ridha Saidi, «l’économie tunisienne reposera sur un nombre de secteurs stratégiques. Comme nous nous concentrons sur la préservation des biens publics. Mais l’activité économique, ajoute le responsable du parti islamiste, repose essentiellement sur l’initiative privée. Nous soutenons cette initiative, et nous soutenons les entreprises privées qui donnent un certain élan à l’activité économique. Et dans notre programme, beaucoup de points et de signes que nous comptons développer avec nos partenaires politiques, afin d’instaurer les mécanismes d’une économie bâtie sur la liberté et sur la prise d’initiative».




    Le parti Ennahdha, a-t-il expliqué, veillera sur «la révision du Code d’Investissement, dans l’objectif de faciliter l’engagement des capitaux. Nous comptons aussi initier des ajustements radicaux de l’administration, dans l’objectif de la moderniser, et pour qu’elle soit au service du citoyen et de l’investissement».




    Des zones de développement régional






    L’idée longuement prônée par Abdelaziz Zouari, ministre du Développement régional dans le gouvernement de Beji Caïd Essebsi, celle consistant en la défragmentation du territoire de la Tunisie par la largeur afin de constituer des zones de développement régional, est reprise par le parti islamiste. «Il s’agit, indique Ridha Saidi, d’une nouvelle vision du territoire tunisien, en matière de routes et de lignes ferroviaires dans l’objectif de désenclaver les régions les plus démunies du pays». Une vision qui concernerait aussi «les plateformes logistiques et autres en relation avec la facilitation des opérations économiques. Nous pensons qu’il n’est pas possible d’améliorer la situation économique du pays sans promouvoir l’entreprise, qui est l’axe de la promotion».




    Dans le discours du responsable du parti Ennahdha, les «nous comptons» sont innombrables. «On» compte faire beaucoup de choses et tout semble aller dans une direction qui ne surprendrait personne.




    Les plaies et les maux de l’économie tunisienne sont certes multiples, mais ils sont apparents et connus, et il ne faudrait pas être élu du peuple pour les détecter. Même en ce qui concerne les enjeux économiques à caractère géopolitique, le discours est soft et évite sciemment de braquer l’opinion, notamment en ce qui concerne les relations avec l’Union Européenne. «Nous espérons même élargir les domaines de coopération avec les autres espaces, non seulement européen, mais aussi africain et asiatique», indique aussi le conseiller économique du parti Ennahdha.




    Le mirage maghrébin






    Ce qui frappe, en définitive, c’est la confiance qui se dégage du discours du responsable Nahdhaoui en parlant du nouvel «élan des relations de la Tunisie dans son environnement maghrébin». On ne dirait certes pas grand-chose sur les relations, et la bonne entente, pouvant exister entre les nouveaux régimes en Tunisie et en Libye, mais on trouve cette confiance dans le marché algérien quelque peu exagérée. Un pays où le gouvernement avait manifesté «son admiration» pour le régime de Ben Ali, tout en menant la vie dure aux entreprises et aux investissements tunisiens. La preuve : l’une des plus puissantes entreprises tunisiennes vient d’annoncer son retrait de ce marché.




    Le régime algérien avait franchement exprimé son «malaise» face à l’accession d’un parti islamiste au pouvoir en Tunisie, et il est à craindre vraiment que les prochaines versions de la fameuse «Loi des Finances» en Algérie ne sanctionnent davantage les entreprises tunisiennes installées ou désireuses de le faire sur le territoire voisin, juste à cause d’Ennahdha.




    Parmi les questions que nous sommes dans la capacité de poser, celle concernant le degré d’innovation et de l’ingéniosité dans la catégorie de solutions que nous nous attendons au cours de la prochaine période a toute son importance. Comme indiqué, les maux de l’économie tunisienne sont connus. Elles vont du sous-financement à la corruption et la fraude.




    Jusqu’à maintenant le discours «économique» des responsables du parti islamiste n’apporte pas beaucoup de nouveau et il n’est donc pas vraiment rassurant. On demande de ne pas «juger les intentions», mais des solutions, il en faut maintenant. Surtout que même le Plan du Jasmin, très cher au cœur de Jalloul Ayed, ministre des Finances semble être maintenu, faute d’autres issues

    Salam




    J'écris rarement sur ce forum mème si je lis souvent ce topic que je trouve interresant.




    Mais yar7em weldikoum est-ce que vous pourriez arrèter de répondre aux provocations d'Ousta ; ça sert à rien et ça nuit au forum.