Il faut en Tunisie, une ligne défensive militaire déployée le long de la frontière avec la Libye et où le renseignement est le maître mot de l’armée : des soldats équipés de radars leur permettant de détecter la présence d’un lézard sur un rayon de 20 kms minimum.
Cette ligne défensive doit se fonder sur la qualité des ressources humaines et matérielles, pas sur le nombre. Non seulement c’est plus efficace mais en plus cette stratégie limite les coûts et représente mieux la diplomatie tunisienne : un pays qui manœuvre pour se défendre et pas pour attaquer.
Dépendre des autres dans ce contexte est pure folie.