un témoignage d'un ancien cadre de la police!!! à voir surtout vers la fin!!!
La situation en Tunisie
- Juan Roman Riquelme
- Sujet Fermé
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Une centaine de personnes, dont beaucoup portaient la barbe :affraid: , ont manifesté après la prière du vendredi, demandant "le départ du gouvernement" provisoire de Béji Caïd Essebsi, sous les yeux de la police déployée en force.
"Ce gouvernement est impie, il doit dégager", a lancé Férid Béji, un orateur barbu :affraid: dans un prêche improvisé à l'adresse d'une petite foule.
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AbdelT a écrit:
Barbu, barbu, barbu... C'est quoi ce journalisme à la con.. Barbu et alors? d'ici 50 ans on va distinguer les barbu dans la culotte aussi? ça ne m'a pas étonné de voir ces pseudo journaliste avancer la thèse que le norvégien qui a ouvert le feu serait converti à l'Islam... Marre de ces conneries occidentale.
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NeuCamp a écrit:
C'est normal car on ne voit que du subjectif (bon je dis à 90%) dans les critiques envers ce parti, hetha ken n7ebou nsamiouhem des critiques
Toute critiques est d'une manière ou d'une autre subjective et n'engage que la personne qui l'émet. Après je peut aussi considérer ton avis subjectif parce que tu est pro Enndahdha. Maintenant comme dit plus haut, la Tunisie n'est pas prête pour la démocratie quand tu vois le manque de dialogue, les accusations à tort et à travers les violences...
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mtuni a écrit:
Toute critiques est d'une manière ou d'une autre subjective et n'engage que la personne qui l'émet. Après je peut aussi considérer ton avis subjectif parce que tu est pro Enndahdha. Maintenant comme dit plus haut, la Tunisie n'est pas prête pour la démocratie quand tu vois le manque de dialogue, les accusations à tort et à travers les violences...
Subjectif dans quel sens? Hamdoulah, au moins je suis pro quelque chose car il y a des gens qui sont juste des anti-Nahdha.
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mtuni a écrit:
Toute critiques est d'une manière ou d'une autre subjective et n'engage que la personne qui l'émet. Après je peut aussi considérer ton avis subjectif parce que tu est pro Enndahdha. Maintenant comme dit plus haut, la Tunisie n'est pas prête pour la démocratie quand tu vois le manque de dialogue, les accusations à tort et à travers les violences...
C est quoi la solution on revient au partie unique pour info la démocratie francaise c est pas fait en 6mois il faut etre patient
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16.5% seulement des electeurs potentiels se sont inscrits jusqu'à présent pour voter (date limite 2 Aout). Un chiffre synonyme d'une grosse claque pour tous les partis politiques sans exception.
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aigletaragi a écrit:
Tu proposes quoi hedi ??????
Je ne fais que constater: un gouffre immense sépare l'élite politique (qu'elle soit islamiste, laique, gauchiste, liberale, nationaliste ou martienne) de ce pays avec la population. Maintenant, je pense qu'il est urgent qu'il y ait un renouvellement de génération au sein de la classe politique du pays, puisqu'on voit très bien qu'elle n'arrive même pas à mobiliser les citoyens pour voter. A9wa exemple c'est celui de Maya Jribi qui hier déclarait que son parti avait pour objectif d'obtenir 2 millions de voix (je sais pas comment ils vont faire alors qu'en ce moment ce qu'on espère c'est dépasser les 2 millions d'inscrits :giveup: )
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hédi a écrit:
Je ne fais que constater: un gouffre immense sépare l'élite politique (qu'elle soit islamiste, laique, gauchiste, liberale, nationaliste ou martienne) de ce pays avec la population. Maintenant, je pense qu'il est urgent qu'il y ait un renouvellement de génération au sein de la classe politique du pays, puisqu'on voit très bien qu'elle n'arrive même pas à mobiliser les citoyens pour voter. A9wa exemple c'est celui de Maya Jribi qui hier déclarait que son parti avait pour objectif d'obtenir 2 millions de voix (je sais pas comment ils vont faire alors qu'en ce moment ce qu'on espère c'est dépasser les 2 millions d'inscrits :giveup: )
Il faut comprendre cette population qui a vécu 23 ans de terreur, ils ne savent pas ce que c'est un vote libre, ils ont toujours étaient contraint de voter par la "force". Et comme tu dit effectivement il faut un changement de génération.
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De la magie noire au vol des trésors de la Tunisie
Chaque matin, Leila Trabelsi, épouse de Zine Al Abidine Ben Ali, le dictateur de Tunis, balayé par la révolution du 14 janvier 2011, fait griller vivant un caméléon dans un kanoun (braséro).
«C’est devenu un rituel et malgré moi j’en ai presque pris l’habitude», raconte Lotfi Ben Chrouda, majordome des Ben Ali dans Dans l’ombre de la reine, paru récemment en France aux éditions Michel Lafon. «Je ne crois pas à la sorcellerie, ça relève de croyances populaires archaïques qui me semblent dépassées. Pourtant, je suis bien obligé de constater que, depuis le début des rituels de Leila, la volonté du Président s’amenuise un peu plus chaque jour», relève-t-il. Leila Trabelsi utilisait la sorcellerie pour s’installer durablement aux palais de Carthage et de Sidi Dhrif, mais aussi pour détourner les biens culturels de la Tunisie. «Les sorciers de Leila vont venir de différentes régions d’Afrique, Maroc, Sénégal et Mali. C’est à travers sa famille que se feront les contacts», est-il rapporté. Des sorciers qui vont sonder le sous-sol tunisien, chercher les trésors des anciens temps à Carthage ou ailleurs. Leila n’hésitera pas ainsi à raser une caserne sur la colline de l’Odéon, un endroit parsemé de ruines.
Le matériel nécessaire aux fouilles est acheminé depuis Washington à travers l’ambassade. Des ambassades utilisées par Madame la Présidente comme des conciergeries. Les objets précieux trouvés sont envoyés dans des caisses à l’étranger, d’autres placés dans les jardins et les nombreuses maisons des Trabelsi. A Séliana, Leila a trouvé une tortue d’environ un mètre de longueur, tout en or et incrustée de diamants. Sous couvert de travaux, Imed Trabelsi (véritable fils de Leila, selon son majordome, et non pas son neveu) a pu récupérer des pièces en or et des statues entières. Avec la complicité des entreprises de transit appartenant à son frère Adel Trabelsi (décédé) et au moyen de bateaux propriété de Mourad Trabelsi, son autre frère, un analphabète, Madame la Présidente envoyait les monuments du patrimoine tunisien en Russie et en Israël. «Israël est très présent dans les affaires de la famille, et on n’y trouverait rien à redire si Ben Ali n’utilisait pas les liens de certains Tunisiens avec ce pays comme motifs d’emprisonnement infamants», écrit le majordome.
Les secrets du club Elyssa
Selon lui, la rage de possession de Leila est pathétique. «Elle convoite tout, y compris ce qui se trouve dans le musées et sous la protection de la Trésorerie nationale», rapporte-t-il. Aussi, Leila Trabelsi a pris des bijoux hafsides et beylicaux au niveau de cette trésorerie et les a déposés chez elle. Avec la complicité de Abderrahmane Bel Hadj Ali, ex-directeur de la sécurité du palais présidentiel, Leila Trabelsi a détourné tous les biens (peintures, tapis, etc.) du baron anglais Rudolph d’Erlanger, propriétaire du palais Ennejma Ezzahra de Sidi Bou Saïd. Belhassen Trabelsi est passé maître d’œuvre dans les expropriations. Il couvre tout cela par la mention «donation» pour se prémunir d’éventuelles poursuites. Il a manigancé pour reprendre les bungalows de Wassila Bourguiba, épouse de l’ex-président Habib Bourguiba, situés non loin du domaine du baron anglais, repris également. Il a pris de force la discothèque La Baraka de Sidi Bou Saïd, lieu mythique fréquenté par le passé par des stars comme James Brown ou Charles Aznavour. Selon le majordome des Ben Ali, Ali Seriati, responsable de la sécurité du palais présidentiel, est venu expulser les propriétaires. «Il fallait sortir les mains en l’air.
Aucune indemnité ne leur a été accordée», rapporte-t-il. Le club Elyssa, crée par Leila Trabelsi comme Suzanne Moubarak l’avait fait avant elle, a été installé à l’emplacement de La Baraka. Il sera géré par Samira Trabelsi, sœur de Leila, ancienne vendeuse de chaussures. Samira rafle tout : le kiosque à sandwichs devant les universités, les cantines scolaires, les cafés les plus fréquentés de La Marsa, une usine de tomate… Au club Elyssa, où le monde intellectuel est absent, tout se négocie… entre femmes. «Ce sont les épouses des ministres qui seront en première ligne, les maris occuperont presque un rôle de figurants (…). C’est dans les locaux du club que se faisaient ou se défaisaient les carrières ministérielles. Le club était en quelque sorte un avant-Parlement où siégeait l’Exécutif», est-il noté. Mais comment Leila Trabelsi faisait-elle pression sur le dictateur ? «Si tu nous fais du mal à moi ou ma famille, je vais tout raconter sur l’avion des généraux», a-t-elle crié un jour dans le palais. Il s’agit de «l’accident» d’hélicoptère qui a coûté la vie au général Abdelaziz Fkik, chef d’état-major, et une douzaine de ses collaborateurs. «Lors des funérailles, les épouses, en signe de protestation, refusent de serrer la main du Président. Il ne faisait de doute pour personne que Ben Ali était le commanditaire de cet “accident”», écrit Lotfi Ben Chrouda. Le maître de Tunis avait une peur bleue du putsch.
Les rencontres de la rue K.
Le majordome raconte «la terreur» qu’inflige Leila Trabelsi – qui n’est pas coiffeuse contrairement à la réputation qui lui est faite – au personnel du palais présidentiel. Elle n’a pas hésité à plonger les mains de son cuisinier dans l’eau bouillante parce qu’il avait oublié d’enlever le jaune d’œuf des bricks qu’il préparait pour elle. Madame fait attention à son cholestérol ! «Mon salaire mensuel est de 520 dinars. Pour la petite histoire, nos salaires sont déclarés par la Présidence, et les sommes affichées sont nettement supérieures à ce que nous touchons en réalité : je suis censé gagner 1100 dinars», relève le majordome. Lotfi Ben Chrouda détaille comment l’ambassade de Tunisie à Paris a été instruite pour acheter toutes les copies de La régente de Carthage de Catherine Graciet et Nicolas Beau dans lequel ces deux journalistes français ont dévoilé au monde le système pourri des Trabelsi-Ben Ali. Le majordome revient sur «le plan» de Leila de remarier son frère Belhassen avec Souha Arafat, épouse du défunt Yassar Arafat, réfugiée à Tunis. Auparavant, Madame la présidente a créé avec Souha l’International School of Carthage (ISC).
Souha se rend compte vite de «la rapacité» des Trabelsi. Elle sera humiliée par Ben Ali et sa femme et priée de quitter le territoire tunisien après avoir été délestée de millions de dollars. Lotfi Ben Chrouda explique avec un malin plaisir «les rencontres» chaudes de Leila Trabelsi avec son amant Arbi Medaoui, son garde du corps aussi, à la rue K. à La Marsa. C’est que Ben Ali cherche souvent à éprouver sa vigueur ailleurs que dans le lit conjugal. Pour maintenir sa forme, il se fait servir une nourriture riche en aphrodisiaques (fruits de mer, fruits secs, condiments à base de gingembre). «Parfois, il recourt au viagra, d’où peut-être ses malaises cardiaques», est-il rapporté. Dans l’épilogue, Isabelle Soares Boumala, professeur de lettres et journaliste en Tunisie, qui a aidé Lotfi Ben Chrouda à écrire le témoignage, révèle que Leila Trabelsi a, dans un dernier geste, demandé un soutien armé au dictateur libyen Mouammar
El Gueddafi pour contrer le soulèvement populaire en Tunisie. En Arabie Saoudite, où il séjourne, Ben Ali est dans une confusion mentale totale, alors que le sort de Leila est inconnu. Son frère Belhassen, véritable chef de bande, est au Canada «protégé par le gouvernement canadien de la vindicte des immigrés tunisiens». Une partie des Trabelsi sont emprisonnés à la base militaire de l’Aouina où ils sont «logés» par des couples dans des appartements en attendant leur jugement. Les jeunes qui ont animé la révolte en Tunisie doivent lire ce témoignage pour mieux saisir l’importance de leur mouvement historique. Un mouvement qui, s’il est soutenu, va accélérer l’installation d’une véritable démocratie dans la région arabe et mettre à terre les «rapaces» des palais...
Préface de Soares Boumalal* :
Le 19 janvier 2011, quand Lotfi est venu me voir pour la première fois, nous étions entrés dans une zone de turbulences. Nous ne les avions pas vues venir, et nul ne pouvait en prédire la fin.
Le couvre-feu était à 17h. Pas loin de chez moi, un tank et des camions militaires tentaient de rassurer la population par leur imposante présence. Des hommes et des femmes montaient des barrages avec des matériaux de fortune, tous les cent mètres.
Parfois, le soir, je leur apportais du café, histoire d’échanger quelques mots et de se rassurer réciproquement. Un grand élan de fraternité s’est immédiatement mis en place, animé par un sentiment inconnu et euphorique de liberté, mais cette liberté était encore fragile, elle demandait de la vigilance, et on était tous prêts à la défendre.
Ainsi, quand Lotfi s’engouffra chez moi pour déposer ses vingt-trois ans de fardeau, j’ai senti comme un devoir de l’écouter.
En le regardant, j’avais presque envie de lui proposer de ne plus bouger, de rester là, de parler jusqu’à ce que le danger s’éloigne. Le danger avait le profil de la milice, encore fidèle au raïs.
Le projet ne paraissait pas avoir un avenir assuré, nous avions même évoqué la possibilité d’être réduits au silence. Mais Lotfi était résolu. « Après tout, m’a-t-il dit, si je meurs après avoir tout révélé, ce n’est pas grave. Je le fais pour mon pays, pour mes enfants.»
Il est sorti comme il était venu. L’heure du couvre-feu approchait. Nous nous sommes donné rendez-vous pour le lendemain, et comme un courant d’air il s’en est allé, laissant dans son sillage un sentiment diffus d’urgence. Au-dessus de chez moi, des tirs semblaient provenir de Sidi Bou Saïd. Les rumeurs les plus folles s’engouffraient dans les maisons. On se battait à La Marsa, tout près d’ici…
Je me souviens d’avoir regardé le ciel. Il était d’une beauté suffocante, limpide et majestueux, les étoiles semblaient à portée de main. Comment le ciel peut-il être si indifférent ? A moins qu’il ne s’agisse d’une promesse…
Lotfi est revenu le lendemain et les jours d’après. Une fois le récit entamé, il nous semblait que la source était inépuisable. Deux décennies de souvenirs, c’est long, et sa mémoire les débusquait dans ses plus obscurs retranchements. Tant de choses qu’il avait vues et qu’il fallait ignorer… jusqu’à ce jour.
J'avais entendu parler de quelque chose comme ça, j'ai un ami qui est un ancien policier qui a entendu de ces anciens collègues qu'en 2010 Ben Ali avait fait une visite officieuse à Paris pour se rendre à la mosquée de Paris pour qu'il se fasse désensorcelé car il se savait qu'on lui fesait de la sorcellerie. Allah ou3alam.
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kobayachi a écrit:
J'avais entendu parler de quelque chose comme ça, j'ai un ami qui est un ancien policier qui a entendu de ces anciens collègues qu'en 2010 Ben Ali avait fait une visite officieuse à Paris pour se rendre à la mosquée de Paris pour qu'il se fasse désensorcelé car il se savait qu'on lui fesait de la sorcellerie. Allah ou3alam.
Le pire dans tout sa, c'est qu'ils sont libres
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kobayachi a écrit:
J'avais entendu parler de quelque chose comme ça, j'ai un ami qui est un ancien policier qui a entendu de ces anciens collègues qu'en 2010 Ben Ali avait fait une visite officieuse à Paris pour se rendre à la mosquée de Paris pour qu'il se fasse désensorcelé car il se savait qu'on lui fesait de la sorcellerie. Allah ou3alam.
moi aussi jai entend un truc comme ça, genre la police,a gabes, qui a fait sortir un vieux de chez lui et des juifs sont rentrés pour faire des fouilles
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16% taux d'inscription (on va dire 20% après 3 jours)
Hier je suis allé m'inscrire, je demande le bureau de vote l’école primaire Khezama (houmti)
a ma surprise c'est saturé, je demande c'est saturé pour ce jour (max d'inscriptions par jour) ou c'est saturé pour le jour des élections, la dame me dit c'est pour le 23-10
je demande un bureau de vote prés de ma maison , elle me dit que le 2eme bureau a khezama est saturé aussi
Bon
1-vous trouvez pas bizarre que pour un taux d'inscription de 20% au pays, 2 bureaux sont saturés avant même la date du 2 août?
2-comment c'est saturé alors que les habitants de khezama (12 mois/12) : ma famille, mes voisins, mes amis ne sont pas encore inscrits ?
7assilou je lâche pas l'affaire je dois me renseigner
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aigletaragi a écrit:
La première des bases d une démocratie c est d accepter le gagnant visiblement certains sur ce forum sont pas assez mur pour la démocratie si ennahda gagne vous allez faire quoi annulez les élections sous pression de l occident judeochtetiens vous voulez une situation à l algerienne le fis avait gagne les élections et l armee qui etait soutenu par l occident à annulé les élections 20 ans apres guerre civile 200000 morts il faut accepter le gagnant et on le jugera lors de son mandats point barre le reste c est discours de café autour d une chicha et d une chokba :mellow:
L'occident n'a jamais mis de pression et encore moins,soutenu les forces vives de la nation(l'armée inclus)pour annuler le deuxieme tour des elections,pour empecher un magma d'islamistes extremistes rétrogrades,d'acceder au pouvoir en Algerie(il n'y a que les islamistes eux meme et les marocains accessoirements(pour raisons de propagande évidentes),qui vehiculent ce genre de légendes urbaines) .
D'ailleurs,aprés cette annulation,l'Algerie a ete mise sous embargo(d'équipements)militaire et des campagnes de propagande immenses ont ete orchestrées et entretenues en occident,pour discréditer l'armée algerienne et son role fédérateur a préserver l'unité et la cohésion du pays(la campagne du "kituki",l'affaire des moines de Tibérine,la cohorte d'opposants de salon qui se relayaient sur les chaines occidentales,francaises tout particulierement......ect....).Sans parler des centaines d'islamistes recherchés par la justice algerienne,qui trouvaient refuge sans aucune peine,dans les capitales européennes.....les armes convoyées par les services francais vers les maquis des islamistes en Algerie(en passant par le maroc)...........ect......Il faut comprendre une chose,l'occident n'a jamais eu beaucoup de leviers de pression sur l'Algerie,a l'inverse des autres pays de la région.
Toute les franges de la société algerienne(en dehors de la nébuleuse islamiste)se sont levées comme un seul homme,pour faire face a une éventuelle victoire des islamistes(pas seulemnt l'armée).Et encore une fois,c'est les islamistes eux meme(flanqués en la circonstance,par certains cercles francais et marocains anti-Algerie)qui ont voulu réduire le combat de tout un pays,a un duel entre de pauvres islamistes innocents et de méchants militaires.L'armee nationale populaire(constituée majoritairement de conscrits wlad echaab,d'alleurs)est l'outil de la volonté du peuple algerien.A l'instar,des policiers,des gendarmes,des groupes civiles d'auto-défense...ect...qui ont eu un role capital,dans la défaite de ces groupusculess islamistes extremistes,soutenus tacitement justement,par la france(et son basset marocain.)
Aprés le 11 septembre 2001(et les évenements de new york),la donne a changé et les islamistes sont devenus les épouventails a abattre(pour l'occident).
Je referme la parenthèse.
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