
La situation en Tunisie
- Juan Roman Riquelme
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Les gens présents sur le plateau de Nessma ken jew rjels quitteraient le plateau en direct pour protester contre la diffusion de la pub de Chebbi encore et toujours! Que l'ISIE nous montre qu'elle n'a pas peur et qu'elle applique la loi. 9ad maya3mel ses pubs, 9ad ma nzid nekrah ce parti.
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Deux articles, du même journaliste sur business news !!
QuoteAfek Tounes ambitionne un taux de croissance à deux chiffres, dès 2014
Toute l’équipe d’Afek Tounes était certes là ce matin pour présenter le programme économique et social de son parti. Mais ce sont Yassine Brahim et Sami Zaoui qui ont attiré les projecteurs. Les deux ex-membres du gouvernement de transition ont brillé par leur maîtrise des sujets exposés lors de la présentation, aussi bien dans le diagnostic que les thérapies à apporter. Ceci s’est affirmé dans leurs réponses aux interrogations des journalistes. Autre remarque, la porte-parole d’Afek Tounes, Emna Mnif, et le secrétaire général du parti, Mustapha Mezghani, étaient certes là mais ont brillé par leur absence de la tribune. Mais là c’est une autre histoire …
Le fait du jour est que les observateurs présents à la conférence de presse tenue ce matin du mercredi 21 septembre 2011 à Tunis par Afek Tounes pour présenter son programme économique et social, n’ont pas manqué de remarquer qu’aussi bien Sami Zaoui mais, surtout, Yassine Brahim, ont exploité leur passage au gouvernement transitoire pour être au point, ne serait-ce que sur le plan d’informations sur les grands chantiers qui attendent la nouvelle Tunisie.
Pour preuve, Yassine Brahim a présenté un diagnostic très percutant de la situation du secteur du transport en Tunisie. ‘Le bilan de cinq décennies d’indépendance montre que la longueur des voies ferrées n’a pratiquement pas bougé depuis l’ère coloniale’, a-t-il souligné. Pourtant ‘la compétitivité d’un pays dépend du rail’, a-t-il remarqué.
Yassine Brahim a déploré l’absence de zones logistiques et attiré l’attention de l’audimat sur l’impact de cette situation sur la compétitivité des produits tunisiens. En guise de solutions, les propos de l’ex-ministre ne se sont pas limités au secteur du transport.
Afek Tounes a développé un projet articulé autour de 21 points qui ‘tiennent compte des attentes de la société tunisienne en termes de projet constitutionnel et de résolution des problèmes sociaux et économiques’.
Ces programmes s’intéressent à tous les aspects de la vie socioéconomique. Ils parlent d’éducation qui développe les talents et prépare la vie professionnelle, de droit aux services culturels et sportifs, d’un Islam des lumières qui défend la séparation de la religion et de l’Etat, d’une politique de santé privilégiant la qualité, la proximité et l’accès pour tous, d’un Etat instituant la solidarité et mettant en œuvre des politiques volontaristes de réinsertion sociale dont bénéficieront les populations les plus démunies.
Les dits projets comportent également le renforcement irréversible de la société civile, socle d’une démocratie véritable et instrument efficace pour le contrôle des pouvoirs publics. Il y a aussi question d’une économie sociale et solidaire au service des Tunisiens, d’un régime politique mixte, garant de l’équilibre des pouvoirs, d’une justice indépendante et équitable, de l’inévitable réconciliation du citoyen avec les forces de sécurité, de la mise à niveau du service public pour le moderniser et le mettre au service du citoyen, de la société civile et de l’entreprise.
Concernant l’Etat, Afek Tounes limite son rôle d’opérateur économique dans les secteurs stratégiques. Par ailleurs, il appelle à la mise en place d’une infrastructure désenclavant nos régions intérieures et améliorant la compétitivité de l’économie. ‘Des régions fortes, maillon essentiel de la dynamique économique et sociale’, dit le programme qui appelle à instaurer un environnement de l’entreprise alliant ouverture économique et facilitations, une agriculture moderne, au bénéfice de l’agriculteur et de l’économie, une intégration forte de l’industrie et des services liés, avec la technologie pour pilier, des services de loisirs et de culture valorisant la Tunisie, un secteur bancaire et financier à la hauteur de nos ambitions, un dispositif agressif d’encouragement de l’entreprenariat et, enfin, des mécanismes efficaces d’incitation fiscale et non fiscale.
Afek Tounes a donc proposé une panoplie de mesures générales pour répondre, selon les experts proches de ce parti, aux exigences de l’étape. Cette généralité a poussé un collègue à poser une question sur cet aspect général des propositions avancées dans le projet d’Afek Tounes et sur le fait que ces propositions ‘auraient pu être faites il y a cinq ans, ou après dix ans’.
En guise de réponse, Yassine Brahim, Mohamed Louzir et Sami Zaoui, ont insisté sur le fait que ‘ce qui a changé maintenant, c’est qu’il y a un consensus autour de ces programmes’, ajoutant que ‘tous les intervenants sont désormais conscients de l’équité dans l’établissement des choix et des priorités’. Cette conviction et cette confiance sont nécessaires pour la réussite d’un tel processus de construction de la nouvelle Tunisie.
En plus, et en parallèle avec ce programme général, Yassine Brahim a exposé une série de mesures urgentes pour faire redémarrer l’économie et la société tunisienne. ‘Ces mesures peuvent permettre la reprise économique dès 2012. Un taux de croissance de deux chiffres à partir de 2014 est possible, mais n’anticipons rien. Il faut préparer les conditions objectives de cette reprise’, a-t-il expliqué.
Les mesures urgentes portent, d’abord, sur la justice transitionnelle. ‘Il est impératif de demander des comptes sur les dépassements avant de passer l’éponge’, a martelé Yassine Brahim qui a constaté de la lenteur dans les procédures actuelles. Lesdites mesures touchent aussi la révision des programmes de l’enseignement supérieur pour une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi. ‘Ce n’est pas normal que l’on continue à voir l’université produire des chômeurs sans une réaction efficace’, a également dit l’ancien ministre du Transport.
Les autres secteurs intéressés par ces mesures sont l’administration (réforme sur trois ans), le renforcement de la coopération avec la Libye, l’accélération des grands projets d’infrastructure, la situation des forces de l’ordre et leur rapport avec les citoyens, le renforcement de la société civile pour épauler ce processus, la numérisation de la Tunisie, la mise à niveau de l’artisanat et l’économie verte.
Afek Tounes s’aligne donc sur les autres partis avec une série de mesures pour assurer la reprise dans le pays. Il pense toutefois que le processus commence par ‘le choix de représentants qui ont un programme concrétisant cette volonté de réussir un grand saut’.
Mounir Ben Mahmoud
QuoteLes similitudes entre les programmes d’Ennahdha et de Ben Ali
L’analyse du document proposé comme programme par le mouvement Ennahdha peut se condenser dans l’examen du point 101 de cette série de mesures, qui promet la création de 590.000 postes d’emplois durant le quinquennat 2012-2016.
Ce point rappelle étrangement la promesse faite par l’ancien président Ben Ali, annonçant 300.000 emplois, en deux ans, pour absorber le chômage des diplômés. Tout le monde avait alors dit que c’était de l’utopie.
C’est étrange et cela saute aux yeux. Quand on lit de près le programme électoral d’Ennahdha et celui présenté il y a quelques jours aux ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G8, on trouve plusieurs similitudes. Des coïncidences troublantes entre le programme du parti islamiste et le programme économique et social (le plan Jasmin, cliquer ici pour le télécharger) élaboré par les équipes de Béji Caïed Essebsi présenté à Marseille. Et quand on pousse la lecture, les similitudes sautent davantage aux yeux avec le programme de Ben Ali. Qu’a donc proposé de plus Ennahdha pour qu’on puisse le croire ?
A vrai dire, la réponse à cette question ne saurait ignorer le contenu du restant des 365 mesures, ne serait-ce que pour comprendre comment l’absorption du chômage va se concrétiser. A ce titre, le point 102 donne déjà un premier indicateur en affirmant que l’Etat va faire un effort supplémentaire en renforçant l’encadrement dans l’administration publique pour essayer d’absorber une partie des chômeurs diplômés.
Les points de 103 à 113 exposent d’autres propositions pour absorber le chômage. Ils parlent d’investissements dans les secteurs des sciences et de technologie (103), d’accompagnement des projets (104), de formation professionnelle pour une meilleure insertion sur le marché du travail (105), de recherche de nouveaux marchés de travail à l’étranger (106), de grands projets (107), de financement de petits projets (108), d’associations de développement (109), de prise en charge par l’Etat des charges de la couverture sociale pendant cinq ans (111), de réduction dans les transports publics et de gratuité des soins (112), ainsi que d’un meilleur encadrement social dans les établissements scolaires (113). Mais, c’est du déjà vu ! Il n’y a aucune mesure qui n’a pas été déjà proposé par l’ancien régime
Or, ce n’est pas un jeu d’enfants que de ramener le taux de chômage de 14,5 % à 8,5 %. Il ne s’agit nullement de cumuler toutes les mesures possibles pour encourager l’emploi. ‘Il s’agit de concevoir un nouveau modèle de développement qui exploite autrement le potentiel humain de la Tunisie’, comme l’a expliqué le professeur Mohamed Haddar, président de l’Association des économistes tunisiens. ‘La place de la Tunisie doit changer dans la division internationale du travail’, a-t-il notamment dit.
En plus, et que les experts d’Ennahdha nous excusent, mais leurs propos renvoient directement à ceux de Mohamed Ghannouchi, ex-Premier ministre, lorsqu’il avait présenté le 6 juillet 2010 devant le parlement le projet du 12ème plan. Ghannouchi espérait ‘réaliser et maintenir sur les 5 prochaines années un taux de croissance de l’ordre de 5% et de faire passer le PIB par habitant à 8371,5 dinars en 2014 tout en créant 415.000 emplois sur la période afin de réduire le taux de chômage à 11,6%’.
Quant à Ennahdha, elle se propose de ‘réaliser et maintenir sur les 5 prochaines années un taux de croissance de l’ordre de 7% et de faire passer le PIB par habitant à 10.000 dinars en 2016 tout en créant 580.000 emplois sur la période afin de réduire le taux de chômage à 8,5 %’.
Si l’on va dans les détails, on retrouve facilement les centaines de mesures contenues dans le « défunt programme présidentiel 2009-2014 », que ce soit les mesures touchant au développement régional (115 à 127), le développement de l’agriculture et de la pêche (128 à 149), ainsi que pour tous les autres secteurs (industrie, énergie, tourisme, santé, etc.).
Par ailleurs, le ‘copier/coller’ ne se limite pas à la question de l’emploi, ni à la conception de mise à niveau, il touche également la question du financement de l’économie. Le préambule du programme d’Ennahdha annonce, tout comme le projet du 12ème plan de développement du gouvernement Ghannouchi, de renforcer le recours à l’épargne nationale. Mais, après avoir reproduit la même analyse, l’analyse d’Ennahdha limite la contribution de cette épargne dans l’économie à 67 % alors qu’elle est de 73,4 % pour le projet du 12ème plan.
Une telle comparaison permet de constater que l’approche globale du projet d’Ennahdha ne coupe pas du tout avec les grandes lignes du douzième plan. D’où la question évidente concernant la différence dans les résultats. Comment pourrait-on obtenir 7 % de taux de croissance avec les mêmes orientations économiques ? Ce n’est sûrement pas en surchargeant les entreprises publiques de cadres diplômés que l’on obtienne un meilleur taux de croissance.
En plus, que les experts d’Ennahdha nous excusent encore une fois, leurs projections sont carrément erronées. Ce n’est pas avec un taux de croissance moyen de 7 % que l’on puisse réduire le taux de chômage de six points (de 14,5 % aujourd’hui à 8,5 % en 2016). Cette réserve est avancée sans entrer en polémique sur le taux de chômage réel, ni sur la possibilité, ou non, d’atteindre ledit taux de croissance.
En effet, on ne cesse de parler actuellement de 700.000 chômeurs, ce qui veut dire que 1% des chômeurs est matérialisé par 48.275 chômeurs (700.000 : 14,5 = 48.275). Rabaisser le taux de chômage de six points signifie donc l’emploi de (48.275 X 6 = 289.650), en plus de la satisfaction de la demande additionnelle annuelle qui s’élève à 90.000 emplois par an. Il s’agit donc de créer (289.650 + 450.000 = 739.650) emplois, et non pas 580.000 comme annoncé par le projet.
Deuxième incorrection, 1 % de taux de croissance permet de créer une moyenne de 16.000 emplois, ce qui veut dire que les 7 % de taux de croissance permettent de créer 112.000 emplois, soit 20.000 de plus que la demande additionnelle annuelle sur le marché du travail. En cinq ans, le marché de l’emploi peut absorber 100.000 chômeurs, soit à peine, 2,5 % des chômeurs et le taux de chômage se réduirait de 14,5 % à 12 %.
Mais, que ce soit avec Ennahdha (ou avec le PDP, Ettakatol, UPL, etc.) car ils n’ont fait tous que reproduire le même schéma de développement avec des chiffres traduisant leurs aspirations, le problème ne se situe nullement à débattre les chiffres mais, plutôt, à réfléchir autrement le modèle de développement pour mener la Tunisie vers une croissance basée réellement sur la technologie. Ceci n’a pas été fait jusqu’à maintenant et ce n’est nullement en calquant les anciens projets que l’on puisse mieux gouverner même si l’on change les personnes.
L’ancien modèle de développement était certes gangréné par la corruption mais ce n’est pas son unique handicap. La Tunisie a carrément besoin d’un autre modèle de développement. Il est impératif de lancer un appel pour que toutes les compétences tunisiennes y réfléchissent afin de réussir la transition économique, tremplin incontournable pour réussir la transition démocratique.
Mounir Ben Mahmoud
J'ai pas trouvé mieux comme commentaire ...
Comme par hasard c'est ce même pseudo journaliste Mounir Ben Mahmoud qui nous parlait avant hier du programme d'Ennahdha qui n'est autre que du copier coller du programme de ZABA et reproché a ce programme de 365 points qui est trop généraliste et ne donne pas le comment faire de ce programme, tandis qu'il nous dit aujourd'hui que le programme d'Afek 21 points 'tiennent compte des attentes de la société tunisienne en termes de projet constitutionnel et de résolution des problèmes sociaux et économiques'. et ils ont même donner le comment faire ont brillé par leur maîtrise des sujets exposés lors de la présentation, aussi bien dans le diagnostic. En plus lorsqu'Ennahdha parlait de 8% de croissance il nous disait que c'est irréalisable et très ambitieux et aujourd'hui il voit qu'une croissance à 2 chiffres dans 2 ans est faisable et tout est parfait et ils ont tout expliqué.
Bref quel objectivité et quel journalisme d'analyse neutre jusqu'au bout.
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Samir Feriani est libéré d'après JawhraFM
edit: Samir Feriani est libéré provisoirement, procès reporté pour le 29 septembre
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Quote from moha013
Deux articles, du même journaliste sur business news !!
En plus le programme économique d'Afek est encore plus général que ceux d'Ennahdha, FDTL et du PDP. Je n'ai presque vu aucun chiffre, la seule diffèrence est que les idées sont présentées avec des paragraphes beaucoup plus long. :ph34r: (vous aurez remarqué que je n'aime pas du tout ce parti)
Mais Business News a une ligne éditoriale claire et c'est visible, malheuresement ca reste quand même le "meilleur" journal électronique tunisien (ou le moins mauvais on va dire)
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Quote from hédi
En plus le programme économique d'Afek est encore plus général que ceux d'Ennahdha, FDTL et du PDP. Je n'ai presque vu aucun chiffre, la seule diffèrence est que les idées sont présentées avec des paragraphes beaucoup plus long. :ph34r: (vous aurez remarqué que je n'aime pas du tout ce parti)
Mais Business News a une ligne éditoriale claire et c'est visible, malheuresement ca reste quand même le "meilleur" journal électronique tunisien (ou le moins mauvais on va dire)
Expliques stp ...
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Le FDTL a publié ses comptes au 15/09/2011, le total ressources se situe au niveau des 1 150 kdt pour des dépenses de 950 kdt. Est ce qu'il y a d'autres partis qui auraient publié leurs comptes?
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Quote from Freerider
l'admin de la page contre l'islamisation de la Tunisie:
Jean-isaac Younes,
http://www.facebook.com/profil…d=100002675787431&sk=info
c'est facile de faire la différence entre un musulman et un juif, entre un juif et un sioniste propagandiste d'Israel formé à la CRIF!
Si tu me permets Free ...
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Quote from moha013
Expliques stp ...
Pro-Liberale (au sens économique comme au sens politique)
Quote from GUTILe FDTL a publié ses comptes au 15/09/2011, le total ressources se situe au niveau des 1 150 kdt pour des dépenses de 950 kdt. Est ce qu'il y a d'autres partis qui auraient publié leurs comptes?
Pas à ma connaissance, mais l'important n'est pas tant la somme mais plutôt sa provenance.
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Quote from Freerider
ce qui me choque aussi, c'est en haut à droite de la video, les habitants de Lampedusa, viennent donner un coup de main à la police et frappent/caillassent les Tunisiens
voilà le départ du conflit:
https://www.facebook.com/photo…5426040&type=2&permPage=1
ils ont bruler le bâtiment pour protester contre un accord signé entre Tunis et Rome pour rapatrier les clandestins à Tunis
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Quote from GoldenGo
Et toi en premier, j'ai dit un mot sur l'Est, bdit thez wtonfodh, malla 3bed maychoufouch 3wej rgobahom, "makheybek ya sana3ti 3end ghiri"
Tu me surveilles? mon commentaire t'as fait du mal? Tu veux que je répètes le mot que tu as dit sur l'EST! Tu as carrément dit qu'on était des tricheurs! Vous croyez démocratie c'est insulter l'autre. ce que pensent les gens c'est toujours le mal de l'autre?
Tu confonds démocratie et liberté de penser. Si tu penses ça de l'EST c'est ton droit et moi je me défendrais mais il n'y a rien à voir avec la démocratie! Tu mêles un sport à la politique, c'est chaud! Apprends à être tolérant, je ne suis pas le seul à penser ça de toi : je peux afficher les messages que t'as publié qui montrent ta personnalité.
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Et dire que cette île est censée nous appartenir!!!!!!
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Quote from moha013Display More
je me demande comment ce bsaies pourra confronter la societé tunisienne.C'est un malhonnete de premier degrés.Qu'il degage de notre pays,il n'a pas de place parmi les tunisiens.Je le conseille d'aller cirer les bottes de BEN ALI en arabie saoudite.
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Quote from CSS007
je me demande comment ce bsaies pourra confronter la societé tunisienne.C'est un malhonnete de premier degrés.Qu'il degage de notre pays,il n'a pas de place parmi les tunisiens.Je le conseille d'aller cirer les bottes de BEN ALI en arabie saoudite.
Pourquoi veux tu qu'il dégage ? au contraire il est le plus honnête des hypocrites, on a encore besoin de lui :clapclap:
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Maintenant on passe une émission science et islam sur encyclopedia
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Amazing !! Le programme de l'extrême gauche de la Tunisie, vous m'avez dis "islam" ... et bien, vous auriez enfin votre islam !!
QuoteLe Pôle Démocratique Moderniste veut abolir la peine de mort et prône l’égalité de l’héritage
Le programme du Pôle Démocratique Moderniste (PDM) promet d’abolir la peine de mort et instituer une égalité parfaite de l’héritage.
Business news a, en effet, pu accéder au programme Constitutionnel du PDM qui sera officiellement dévoilé demain samedi 24 Septembre à 10 heures au Palais du Congrès avec la présentation des Candidats du Pôle.
Notre première impression c'est que le Pôle est fidèle à son engagement pour l'égalité homme femme (déjà matérialisé par la présentation de 50% de femmes candidates en tête de liste).
On y apprend que les listes de l'étoile sont pour la levée des réserves sur la signature de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW), ce qui impliquerait, selon notre lecture et à moins d’être démentis par le PDM, un engagement fort pour l'égalité homme femme dans la loi et de par la loi y compris dans l'héritage.
On y lit également un recours à la discrimination positive pour promouvoir la participation des femmes et de jeunes dans la vie publique où pour la promotion de l'intégration des handicapés.
Une autre originalité dévoilée par le PDM est son engagement pour l'abolition de la peine de mort.
Une officialisation de ce qui est déjà en pratique en Tunisie puisque la dernière exécution rmonte à 1993.
En ce qui concerne la religion, le Pôle propose une séparation entre la politique et la religion avec un léger amendement de l'article premier de l'ancienne constitution en y introduisant la Démocratie :
" La Tunisie est un État démocratique, libre, indépendant et souverain: sa religion est l'Islam, sa langue l'arabe et son régime la république". On n’a donc pas « osé » aller jusqu’au bout et appeler les choses par leur nom en instaurant clairement et sans ambiguïté le terme laïcité.
Le PDM précise que cet article ne peut être utilisé par le tribunal constitutionnel (autre proposition) pour valider ou invalider des lois sur une base de lecture religieuse.
Dans le même sens, il est proposé que tous les lieux de culte soient gérés par les services de l'Etat et que le financement soit "exclusif". Pas de financement étrangers ou privés de nos lieux de culte donc.
Par ailleurs, comme attendu, le PDM défend farouchement les droits et les libertés individuelles avec notamment une mention forte pour interdire toute forme de censure.
En ce qui concerne la nature du régime, il semble que le Pôle est pour un régime mixte avec un Président élu pour 5 ans renouvelable une seule fois.
Pour la période "transitoire", le Pôle propose que l'assemblée constituante se dote d'un règlement intérieur rapidement et que les lois et décisions soient validées à la majorité simple (50% + 1 voix) sauf en ce qui concerne la rédaction de la constitution, où chaque article exigerait une majorité qualifiée des deux tiers (2/3).
Nous n’avons pas réussi à obtenir un document concernant la partie économique du programme du PDM (et on doute fort qu'il soit libéral), mais nous y reviendrons dès dimanche après l’annonce officielle prévue demain samedi.
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Quote from moha013
Amazing !! Le programme de l'extrême gauche de la Tunisie, vous m'avez dis "islam" ... et bien, vous auriez enfin votre islam !!
Ils font preuve de lâcheté sur ce coup
ça sert à quoi d'introduire un article caduque, sans aucune valeur? une constitution dont le 1er article est juste pour la forme, du jamais vu!!
une acrobatie de mauvais goût pour satisfaire à la fois le peuple tunisien et leurs maitres sionistes!
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