La situation en Tunisie

  • NineteenTwenty a écrit:

    Jibli un nahdhaoui a fait une fois une grève de faim dans ça vie.. hahahahah ma ya3refou ken nikeh lisbeh.. Nidhal et Nahdha ça rime pas... Moi personnellement j'ai jamais entendu parler de Nahdha lors de l'opposition, il y a que PDP et Ben Sedrine et Co qui militent...


    Jeme3a rekcha fi London w houa y9olli fi 7bouset... Ena j'ai commencé à voir des barbus et entendre parler de Nahdha qu'après 2 voir 3 mois de la révolution...


    T'as vue un barbu à l'avenu le 14 janvier ? Non....


    je suis sûr et certain que toi même tu n'es pas convaincu de ce que tu dis


    voilà une phto de Samir Dilou membre du bureau exécutif d'Ennahdha, za3ma fech ya3mil ? ychayyich ?


  • azertyy a écrit:

    une info sur ben jaafar et marzouki ont pu passer ou non?


    bien sur ils sont passé et facilement


    les fausses informations d'hier etaient diffusés par des gens qui veulent gacher la fête du CPR et Ettakattol

  • Le parti Afak Tounes a devancé Ennahdha de cinq voix dans la circonscription de Mahdia.


    Le mouvement Ennahdha a demandé à l’IRIE de Mahdia de recompter les voix et l’opération a, semble-t-il été entamée


    (source ;tunisie numérique)

  • malkin a écrit:

    Le parti Afak Tounes a devancé Ennahdha de cinq voix dans la circonscription de Mahdia.


    Le mouvement Ennahdha a demandé à l’IRIE de Mahdia de recompter les voix et l’opération a, semble-t-il été entamée


    (source ;tunisie numérique)


    Le 2ème décompte a été fait et ce résultat a été confirmé.. Nahdha devrait accepter les résultats et se taire..

  • malkin a écrit:

    Le parti Afak Tounes a devancé Ennahdha de cinq voix dans la circonscription de Mahdia.


    Le mouvement Ennahdha a demandé à l’IRIE de Mahdia de recompter les voix et l’opération a, semble-t-il été entamée


    (source ;tunisie numérique)


    les bons comptes font les bons amis

  • Bon Courage a Ennadha, ils ont un an pour faire leur preuve, et aussi avant en Avril il y a les élections municipale. Promettre et avoir de bon parleur ne suffit pas pour remettre en Marche la Tunisie, on jugera ce partis par ces résultats économique, le chromage etc......pour ceux qui ont reçus 30DTN ou un mouton, il devront attendre les prochaines élections........ afin de recevoir la prochaine visite du père Noël Ghannouchi. En attendant nos immigrées en Europe ont pour la majorité vote pour un partie "d'extrême droite" en Tunisie..... Marine Le Pen tient son futur Buzz politique !!!!!!!!!!! Imaginons une rencontre de ces deux parties d'extrême droite en Tunisie Le Pen / Ghannouchi en 2013 MDR.


  • Dans ce cas ni Rached Ghannouchi ni Marzouki ne méritent le respect puisqu'ils ont fui le pays!! Rahou, chacun voit les choses à sa manière, et chacun milite à sa manière, pour moi si ce gars qui a passé 15 ans en prison a laissé un petit garçon sans éducation et après ces 15 ans ce petit garçon est devenu un adolescent criminel, je vois pas le respect dans ça, je donne juste un exemple de ce que peut donner la vie suite à un choix qui parait courageux mais finalement désastreux.

  • NineteenTwenty a écrit:

    Le 2ème décompte a été fait et ce résultat a été confirmé.. Nahdha devrait accepter les résultats et se taire..




    Tiens tiens, haw 9allek doit se taire ? 9alou nes 9bal, El Jmel ...

  • GUTI a écrit:

    Dans ce cas ni Rached Ghannouchi ni Marzouki ne méritent le respect puisqu'ils ont fui le pays!! Rahou, chacun voit les choses à sa manière, et chacun milite à sa manière, pour moi si ce gars qui a passé 15 ans en prison a laissé un petit garçon sans éducation et après ces 15 ans ce petit garçon est devenu un adolescent criminel, je vois pas le respect dans ça, je donne juste un exemple de ce que peut donner la vie suite à un choix qui parait courageux mais finalement désastreux.


    Rached Ghannouchi et Marzouki ont fait de la prison




    l'un a été libéré par Ben Ali après son coup d'état pour faire croire que c'était un démocrate




    l'autre a été libéré sous la pression de la communauté internationale




    tous les deux méritent le respect, et pas uniquement pour avoir fait de la prison...




    pour l'exemple que tu donne il est pathétique!!!! d'une grossièreté inimaginable!




    donc ceux qui ont perdu la vie durant cette révolution ont fait un choix désastreux! tous les militants et tous les révolutionnaires de l'humanité depuis des siècles auraient du rester tranquilles chez eux et élever leurs enfants pour éviter qu'ils deviennent des criminels!




    vous vous rendez compte de ce que vous dites?




  • Yekhi tu es sérieux? Tu peux pas comprendre le sens d'un exemple? C'est soit tout soit rien? Ya weldi, rahou la résistance peut être par le combat physique comme elle peut l'être par le combat intellectuel. Ma3neha, un écrivain qui choisit sa plume pour militer ne mérite pas le respect autant qu'un gars qui aurait fait de la prison? Et puis, pour le choix, oui, certains choix peuvent paraître courageux mais en réalité ils sont nuls et sans raison, ey, ena je trouve qu'une personne qui ne rate pas l'éducation de ses enfants a plus de mérite qu'une personne qui laisse ses enfants dans la merde pour faire de la prison. Tu vois ue c'est grossier et pathétique, c'est ton avis mais ne pense pas que tu as raison.

  • Article intéressant, voyons ce que feront Ennadha les jours qui viennent? prendront ils les choses en main maintenants ou se déroberont-ils de leurs responsabilités?






    Ennahdha est prévenu : l’euphorie de la victoire passée, il doit répondre aux questions que se posent les Tunisiens et trouver des réponses qui ne déçoivent pas leur attente. Et c’est là une autre paire de manche.




    Par Ridha Kéfi






    La victoire aura été facile, trop facile. Le parti islamiste tunisien n’a pas eu à se surpasser pour remporter largement la première élection libre, pluraliste et transparente en Tunisie. Il n’a eu finalement qu’à cueillir les fruits des errements de ses adversaires qui l’ont mis, pour ainsi dire, sur un piédestal.




    Le difficile métier de gouverner




    Les dirigeants d’Ennahdha, qui ont eu le triomphe modeste, si l’on en juge par leurs premières réactions à chaud, sont les premiers «effrayés» par leur propre succès, car ils sont bien conscients des difficultés qui les attendent. Leurs appels incessants au rassemblement et à la constitution, avec toutes les forces politiques, d’une large coalition pour doter le pays d’une nouvelle constitution et l’aider à sortir de la crise actuelle en disent long sur leur état d’esprit actuel. Car s’opposer est une chose – une posture qu’ils connaissent depuis plus de quarante ans – et gouverner en est une autre. Ce «métier», autrement plus difficile, ne s’apprend pas, en effet, à pied levé.




    Aussi les questions qui se posent aujourd’hui sont les suivantes : que fera Ennahdha de sa victoire ? Va-t-il constituer une coalition avec les partis qui ont remporté avec lui ces élections, et notamment Al-Moatamar et Ettakatol, pour constituer une majorité gouvernementale ? Auquel cas, il devrait faire de substantielles concessions et partager les responsabilités avec ses alliés, au risque de voir se constituer, en face, une forte opposition réunissant les partis de gauche et les libéraux, grands perdants des élections, alors que des élections tout aussi importantes (législatives et présidentielle) se profilent déjà à l’horizon.




    L’union fait la force




    Ennahdha va-t-il plutôt reporter ses ambitions gouvernementales en proposant aux autres forces représentées dans l’Assemblée constituante la mise en place d’un quatrième gouvernement de transition constitué de technocrates ou même d’un gouvernement d’union nationale, de manière à faire porter la responsabilité de cette phase difficile de transition par toute la classe politique nationale ? Ce qui lui donnerait une image de mouvement rassembleur, soucieux de l’unité nationale et ouvert à toutes les forces politiques, y compris séculières. Reste à savoir si les forces qui ont perdu les élections du 23 octobre, et qui songent déjà à l’après-Constituante, sont disposées à jouer le jeu, en partageant des charges dont ils estiment la lourdeur sans être assurées d’en tirer, à terme, de réels bénéfices.




    Ces questions sont d’autant plus légitimes qu’Ennahdha, au sortir de trois décennies de harcèlement, de musellement et de répression, qui ont vu ses dirigeants condamnés à la prison et à l’exil, n’a pas aujourd’hui l’ancrage requis dans les rouages de l’administration et de l’Etat, ni le savoir-faire nécessaire pour porter seul sur ses épaules frêles les lourdes charges gouvernementales.




    Le parti islamiste a donc besoin d’une période d’apprentissage, plus ou moins longue, et aux résultats incertains, que le pays ne saurait souffrir en cette phase délicate. Les Tunisiens, y compris (et surtout) les électeurs d’Ennahdha, attendent des réponses urgentes à leurs problèmes socio-économiques et ils ne sauraient supporter longtemps des hésitations, des erreurs d’appréciation ou des faux-pas que commettraient forcément des… débutants.




    Une naissance prématurée




    Sans préjuger de la suite des tractations en cours entre les forces politiques pour la constitution du gouvernement et la répartition des rôles dans la nouvelle configuration politique issue des élections du 23 octobre, on sent déjà, chez les vainqueurs, une certaine perplexité qui en dit long sur les doutes qui les tenaillent.




    Y aller ou pas ? Avec quels alliés providentiels ? Et avec quelles ressources, surtout humaines ? Quels seraient les chances associées à chaque choix et les risques encourus ? Sur quoi céder à d’éventuels alliés de circonstance – c’est le cas d’Al-Moatamar et d’Ettakatol, qui partagent peu de choses avec Ennahdha sur les plans idéologique et doctrinaire –, et sur quoi rester intraitable ?




    C’est comme si nous assistions à une naissance prématurée : le bébé est trop beau, mais il est également trop fragile.




    Et les parents sont moyennement effrayés par l’ampleur de la tâche qui les attend.


    Dans ce cas, il n’y a pas de meilleure solution que l’union sacrée de toute la famille pour faire face ensemble aux défis et aux urgences.

  • azertyy a écrit:

    la Tunisie n'a pas besoin d'autres polémiques, nous avons besoin de travail et de silence




    moha013 a écrit:

    Tiens tiens, haw 9allek doit se taire ? 9alou nes 9bal, El Jmel ...




    Hihihihihi 7wes tefhem.... Apparemment uniquement Nahdha a le droit de protester.

  • helioos a écrit:

    C'est en rouge , et comme on peut remarquer facilement Le 9otb el 7adathi fi tali3a :D




    ness bekri ma ghaltouch ki y9oulou : dhrabni wi bka , sba9ni wi chké lol


    Non c'est en vert...

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