La situation en Tunisie


  • اشتباكات عنيفة تدور في قابس بين متظاهرين و قوات من الأمن و الجيش ،استعمل فيها قنابل المسيلة للدموع و الرصاص المطاطي و الموقف في قابس خطير جدا و في تصاعد سريع .و المتظاهرين يحاصرون منطقة الأمن بقابس و يرشقونها بالحجارة و أنباء على حرق سيارتان للشرطة..


  • Rached Ghannouchi à Alger : «Je ne suis pas venu exporter la révolution, mais un modèle»




    Nous voulons exporter un modèle qui préserve l’islam de l’étiquette de terrorisme, de l’extrémisme et de fanatisme. Nous ne voulons pas d’un islam qui nie la démocratie et les beaux arts», a lancé, hier, Rached Ghannouchi lors de sa rencontre avec le président du MSP, Bouguerra Soltani, au siège de son parti à Alger.




    Le chef du parti tunisien Ennahda n’est ainsi pas venu en Algérie exporter «la Révolution du jasmin», mais plutôt pour vendre ce qu’il qualifie de «modèle tunisien naissant». «Notre modèle est fondé sur un mariage entre l’islam et la démocratie et la modernité. Nous voulons présenter un modèle serein qui serait un bien pour tout le monde», a-t-il soutenu. Pour convaincre, il met en avant la toute récente expérience dans son pays, où les trois partis politiques – Ennahda, Attakatoul (Forum démocratique pour le travail et les libertés) et le Congrès pour la République (CPR) – aux doctrines fort divergentes s’apprêtent à constituer un gouvernement de coalition et à partager le nouveau pouvoir pour une période de transition.




    «La Tunisie, qui a vaincu le régime policier, est à l’étape de la construction de l’Etat avec un gouvernement de coalition dirigé par Ennahda en alliance avec deux partis importants et militants qui sont le CPR, du docteur Moncef El Marzouki, et Ettakatoul, de Mustapha Ben Jaafer. Une alliance qui ne date pas d’aujourd’hui, nous avons milité ensemble contre la dictature, les prisons et les exils nous ont réunis. Cette alliance est la consécration de ces luttes», a souligné Rached Ghannouchi. Invité par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, pour une visite de trois jours, M. Ghannouchi a déclaré que «la révolution tunisienne n’est pas exportable, et si elle l’est, elle ne serait pas vers l’Algérie qui dispose d’un héritage révolutionnaire». Manifestement à Alger, le leader d’Ennahda ne veut pas jouer au trouble-fête. L’Algérie, à ses yeux, n’a pas besoin de faire une révolution, à l’instar des autres pays arabes. Bien au contraire. M. Ghannouchi a dit être venu tirer bénéfice de l’expérience algérienne en matière d’exercice politique. «Nous avons tant besoin d’expérience algérienne en matière de pratique démocratique.» Profonde conviction à l’endroit de l’Algérie ou est-ce seulement une attitude assez commode qui vise à ne pas gêner, lui qui a tant décrié le régime de Ben Ali ?




    «Je visite l’Algérie suite à l’invitation de mon cher ami Abdelaziz Bouteflika que j’ai connu pendant les années dures et avec qui nos relations se sont poursuivies», a-t-il déclaré. Il est à rappeler que le chef du parti islamiste tunisien a vécu ses premières années d’exil en Algérie, avant d’être prié de quitter le pays au début des années de terrorisme. Le leader de la première force politique tunisienne se veut rassurant. Habile, il évite soigneusement d’apparaître comme un vainqueur arrogant. M. Ghannouchi dit vouloir défendre une vision selon laquelle la religion cohabite avec la démocratie et la modernité sans exclusion.




    Par ailleurs, il a confirmé l’accord auquel sont parvenues les trois premières forces politiques de son pays pour «la répartition des trois présidences». «Nous sommes parvenus à un accord final qui sera annoncé dans deux jours. Hamadi Jbali de Ennahda sera le chef du gouvernement, le docteur Moncef El Marzouki du CPR sera le président de la République tunisienne et la présidence de l’Assemblée constituante revient à Mustapha Ben Jaafer du FDTL», a confirmé M. Ghannouchi. Une alliance qui paraît contre nature pour certains, mais une prouesse politique pour d’autres qui voient en elle une nécessité historique pour réussir la transition démocratique. Rached Ghannouchi exposera sans doute son modèle à Abdelaziz Bouteflika qui le recevra, aujourd’hui, en audience officielle




    http://www.elwatan.com/actuali…21-11-2011-148051_109.php

  • aniskom a écrit:


    اشتباكات عنيفة تدور في قابس بين متظاهرين و قوات من الأمن و الجيش ،استعمل فيها قنابل المسيلة للدموع و الرصاص المطاطي و الموقف في قابس خطير جدا و في تصاعد سريع .و المتظاهرين يحاصرون منطقة الأمن بقابس و يرشقونها بالحجارة و أنباء على حرق سيارتان للشرطة..



    Le groupe chimique à gabes est fermé depuis quelques jours et pour une durée indeterminée, c'est scandaleux ce qui se passe partout en Tunisie, c'est le chaos total

  • momo2006 a écrit:

    Le groupe chimique à gabes est fermé depuis quelques jours et pour une durée indeterminée, c'est scandaleux ce qui se passe partout en Tunisie, c'est le chaos total


    La même situation depuis 7-8 mois c'est pas nouveau

  • momo2006 a écrit:

    tdhakkart nokta en postant l'image, meyselech !!!


    myselech w nos


    ama bini w binek 5oft la tatla3 tadh7ak 3al taswira


    madamek tadh7ak 3la nokta ya khoya adh7ak w zid adh7ak



  • اكثر حكومة تعرضت للشتم والتشكيك والتخوين ومحاولات الاطاحة بها


    قاومت كل الضغوط واوصلت تونس لانتخابات ديمقراطية ثم ستسلم الحكم


    وزرائها استلموا المناصب رغم علمهم بانهم ممنوعون من الترشح للانتخابات


    شكرا جزيلا لكل من عمل لاجل تونس


    ولا عزاء لمن شكك في حكومة الباجي وانطلق في حملة البندير الازرق للحكومة القادمة

  • Wahid a écrit:

    personnellement je suis contre ce genre de pratique


    maintenant ce type malheureux Souféne Ben Hmida va devenir un héros de la liberté d'expression et bla bla


    ça doit etre des garnements mais la responsabilité est a chercher du coté des partis islamistes et leur politique de takfir qui a divisé le peuple tunisien

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