TF- Littérature

  • "Le néo-fascisme sera l’ultime expression du libéralisme social libertaire, de l’ensemble qui commence en Mai 68. Sa spécificité tient dans cette formule : « Tout est permis, mais rien n’est possible. » [ Puis ], à la permissivité de l’abondance, de la croissance, des nouveaux modèles de consommation, succède l’interdit de la crise, de la pénurie, de la paupérisation absolue. Ces deux composantes historiques fusionnent dans les têtes, dans les esprits, créant ainsi les conditions subjectives du néo-fascisme."


    Michel Clouscard

  • Les femmes seraient charmantes si on pouvait tomber dans leurs bras sans tomber dans leurs mains.

    Ambrose Bierce.



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    J'ai pas tout compris mais moi j'aurai dit:


    Les femmes seraient charmantes si on pouvait tomber entre leurs cuisses sans tomber dans leurs mains.

    SAM LA MENACE.

  • J'ai pas tout compris mais moi j'aurai dit:


    Les femmes seraient charmantes si on pouvait tomber entre leurs cuisses sans tomber dans leurs mains.

    SAM LA MENACE.

    Tu es un petit joueur tu n'as jamais réussi on boxe pas dans la même catégorie alors bon c'était il y a longtemps ^^

  • "L'Orient peut venir au secours de l'Occident, si toutefois celui-ci le veut bien, non pour lui imposer des conceptions qui lui sont étrangères, comme certains semblent le craindre, mais bien pour l'aider à retrouver sa propre tradition dont il a perdu le sens."

    René Guénon



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  • D'ailleurs les gars , savez vous ou on peut trouver à Tunis des vieux livres arabe notamment égyptiens . (du type أولاد حارتنا) .

    Lors de mon précédent passage à Tunis , j'ai arpenté même les rue spécialisée du type chwachine et c'est de pire en pire . La plupart des petit libraires ont fermé .

    A kitab c'est bof bof .

    Si vous avez une bonne adresse d'un bon libraire n'hésitez pas . Je reviens je pense au début d'avril .



  • « L'hérésie atlantiste malfaisante sur l'individu s'oppose à notre enseignement eurasiste sur l'homme en tant qu'être ethnique.

    L'atlantisme proclame:

    "Ce n'est pas un homme, ce n'est pas un Russe, c'est seulement Vassia, juste un individu. L'appartenance à la race, au peuple, à la langue n'ont aucune signification. Aujourd'hui, il parle telle langue, demain une autre, aujourd'hui il vit ici, demain, là-bas. Mais dans tous les cas et quelques soient les circonstances, il ne reste qu'un individu. Il possède une carte de crédit, un carnet de chèque, un numéro sur le front et sur la main droite, un code-barres, un numéro fiscal. Voilà tout. Qui est-il par sa nationalité, sa culture, de quoi est-il une partie, tout cela apparaît comme secondaire. Il n'est une partie de rien, il est tout."
    Cette représentation de l'homme apparaît comme purement atlantiste.»

    Alexandre Douguine





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  • 19 - Ne pas chercher à convaincre, chercher plutôt à éveiller. La vie trouve un sens dans ce qui est plus que la vie — mais non au-delà de la vie. Ce qui est plus que la vie ne s’exprime pas dans (et par) des mots, mais se ressent parfois. Donner le pas à l’âme sur l’esprit, à la vie sur la raison, à l’image sur le concept.

  • "En Europe, il y a trop de liberté pour les libéraux et pour les pervers, et trop peu de liberté pour le peuple. La démocratie libérale en Europe devient de plus en plus élitiste et anti-démocratique. De mon point de vue, il s'agit d'une forme nouvelle de totalitarisme - un totalitarisme libéral orienté contre la majorité, contre les peuples européens."

    Alexandre Douguine

  • ''Les nuages couraient sur la lune enflammée

    Comme sur l’incendie on voit fuir la fumée,

    Et les bois étaient noirs jusques à l’horizon.

    Nous marchions, sans parler, dans l’humide gazon,

    Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,

    Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des landes,

    Nous avons aperçu les grands ongles marqués

    Par les loups voyageurs que nous avions traqués.

    Nous avons écouté, retenant notre haleine

    Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine

    Ne poussaient un soupir dans les airs ; seulement

    La girouette en deuil criait au firmament ;

    Car le vent, élevé bien au-dessus des terres,

    N’effleurait de ses pieds que les tours solitaires,

    Et les chênes d’en bas, contre les rocs penchés,

    Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.

    Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête,

    Le plus vieux des chasseurs qui s’étaient mis en quête

    A regardé le sable en s’y couchant ; bientôt,

    Lui que jamais ici l’on ne vit en défaut,

    A déclaré tout bas que ces marques récentes

    Annonçaient la démarche et les griffes puissantes

    De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.

    Nous avons tous alors préparé nos couteaux,

    Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,

    Nous allions pas à pas en écartant les branches.

    Trois s’arrêtent, et moi, cherchant ce qu’ils voyaient,

    J’aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,

    Et je vois au-delà quatre formes légères

    Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,

    Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,

    Quand le maître revient, les lévriers joyeux.

    Leur forme était semblable et semblable la danse ;

    Mais les enfants du Loup se jouaient en silence,

    Sachant bien qu’à deux pas, ne dormant qu’à demi,

    Se couche dans ses murs l’homme leur ennemi.

    Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,

    Sa Louve reposait comme celle de marbre

    Qu’adoraient les Romains, et dont les flancs velus

    Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.

    Le Loup vient et s’assied, les deux jambes dressées,

    Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.

    Il s’est jugé perdu, puisqu’il était surpris,

    Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;

    Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,

    Du chien le plus hardi la gorge pantelante,

    Et n’a pas desserré ses mâchoires de fer,

    Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair,

    Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,

    Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,

    Jusqu’au dernier moment où le chien étranglé,

    Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.

    Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.

    Les couteaux lui restaient au flanc jusqu’à la garde,

    Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang,

    Nos fusils l’entouraient en sinistre croissant.

    Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,

    Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,

    Et, sans daigner savoir comment il a péri,

    Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

    II

    J’ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,

    Me prenant à penser, et n’ai pu me résoudre

    À poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,

    Avaient voulu l’attendre, et, comme je le crois,

    Sans ses deux louveteaux, la belle et sombre veuve

    Ne l’eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;

    Mais son devoir était de les sauver, afin

    De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,

    À ne jamais entrer dans le pacte des villes

    Que l’homme a fait avec les animaux serviles

    Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,

    Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

    III

    Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d’Hommes,

    Que j’ai honte de nous, débiles que nous sommes !

    Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,

    C’est vous qui le savez, sublimes animaux !

    À voir ce que l’on fut sur terre et ce qu’on laisse,

    Seul, le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.

    — Ah ! je t’ai bien compris, sauvage voyageur,

    Et ton dernier regard m’est allé jusqu’au cœur !

    Il disait : « Si tu peux, fais que ton âme arrive,

    À force de rester studieuse et pensive,

    Jusqu’à ce haut degré de stoïque fierté

    Où, naissant dans les bois, j’ai tout d’abord monté.

    Gémir, pleurer, prier, est également lâche.

    Fais énergiquement ta longue et lourde tâche

    Dans la voie où le sort a voulu t’appeler,

    Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
    »


    Alfred De Vigny ''La mort du Loup''

    Il paraît que c'était le poème préféré du Zaim rien de bien surprenant ^^

  • "En Europe, il y a trop de liberté pour les libéraux et pour les pervers, et trop peu de liberté pour le peuple. La démocratie libérale en Europe devient de plus en plus élitiste et anti-démocratique. De mon point de vue, il s'agit d'une forme nouvelle de totalitarisme - un totalitarisme libéral orienté contre la majorité, contre les peuples européens."

    Alexandre Douguine

    bien dis :thumbup:

  • bravo Safsaf :thumbup:dommage que tu est esperentiste ^^il n y a pas moyen de ter soigné de ce virus ?^^

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