TF - L'Actualité Tunisienne 2022

  • Aujourd'hui il a fait plus de 30 degrés dans plusieurs régions en Tunisie, pour la fin d'octobre des températures estivales et peut-être le mois d'octobre le plus sec dans l'histoire de la Tunisie, d'habitude le mois le plus pluvieux en Méditerranée cette année un mois chaud et sec.

    Avec une conjoncture internationale difficile avec l'envolée du prix des céréales et du pétrole l'économie Tunisienne déjà à bout par les errements de dix années post révolution sera encore plus malmenée.

    Des mesures radicales doivent être prises pour éviter le naufrage.

    Que Dieu garde notre pays 🙏

  • Aujourd'hui il a fait plus de 30 degrés dans plusieurs régions en Tunisie, pour la fin d'octobre des températures estivales et peut-être le mois d'octobre le plus sec dans l'histoire de la Tunisie, d'habitude le mois le plus pluvieux en Méditerranée cette année un mois chaud et sec.

    Avec une conjoncture internationale difficile avec l'envolée du prix des céréales et du pétrole l'économie Tunisienne déjà à bout par les errements de dix années post révolution sera encore plus malmenée.

    Des mesures radicales doivent être prises pour éviter le naufrage.

    Que Dieu garde notre pays 🙏


    Le problème c'est qu'on est déjà dans le naufrage, presque tout le monde essaie de fuir le paie, les parents encourages leurs enfants a prendre la route.


    Les mesures radicales personne n'aura le courage de les prendre dans un régime démocratique. Un mec comme Poutine ou Erdogan ça aurait fait du bien à la Tunisie, une stabilité politique sur plus de 20 ans, et un mec qui aime son pays et qui veut redorer son blason, pas un dictateur entouré d'une belle familles de voyous.

  • Le problème c'est qu'on est déjà dans le naufrage, presque tout le monde essaie de fuir le paie, les parents encourages leurs enfants a prendre la route.


    Les mesures radicales personne n'aura le courage de les prendre dans un régime démocratique. Un mec comme Poutine ou Erdogan ça aurait fait du bien à la Tunisie, une stabilité politique sur plus de 20 ans, et un mec qui aime son pays et qui veut redorer son blason, pas un dictateur entouré d'une belle familles de voyous.

    Quoi que nous fassions la Tunisie a bien été lésé par le gouvernement Français lors de la démarcation des frontières pour le Maghreb.

    La Tunisie a été privé de plusieurs gisements d'hydrocarbure situés dans l'actuel Algérie et appartenant territorialement à la Tunisie nonobstant cette escroquerie ou cette extorsion historique, elle a aussi vu le gouvernement de Paris privait la Tunisie de plusieurs puits de pétrole livré en main propre à une population d'illettré et tribaliste, la Libye. La Tunisie doit faire pression pour que le gouvernement Français se rachète de ses erreurs et offre à la Tunisie des compensations en nature très importantes.


    Je vous donne quelques détails des puits de pétrole qui ont été volés à la Tunisie et offerte au roi de la Libye:

    -Puit de Zintan

    -Puits de Ghadames


    Algérie

    -Puit de Tebessa

    -Bassin de Birkine

  • Le problème c'est qu'on est déjà dans le naufrage, presque tout le monde essaie de fuir le paie, les parents encourages leurs enfants a prendre la route.


    Les mesures radicales personne n'aura le courage de les prendre dans un régime démocratique. Un mec comme Poutine ou Erdogan ça aurait fait du bien à la Tunisie, une stabilité politique sur plus de 20 ans, et un mec qui aime son pays et qui veut redorer son blason, pas un dictateur entouré d'une belle familles de voyous.

    C'est possible dans un régime démocratique, comme en Angleterre du temps de Thatcher ou la Suède aussi quand les syndicats ont accepté de rabaisser les salaires pour le bien de l'économie, mais ce sont des peuples évolués et responsables, chez nous chacun de son côté sabote le Max comme s'il vivait dans un autre pays.

    Je ne crois pas aux dictatures, Poutine a peut-être redressé un peu la Russie après le chaos des années 90 mais à tout foutu en s'aventurant dans une aventure militaire insensé, Erdogan aussi à entrainé la Turquie dans un désastre économique en s'obstinant à maintenir le taux d'intérêt bas.

    La dictature ne peut que mener à la mediocratie

  • C'est possible dans un régime démocratique, comme en Angleterre du temps de Thatcher ou la Suède aussi quand les syndicats ont accepté de rabaisser les salaires pour le bien de l'économie, mais ce sont des peuples évolués et responsables, chez nous chacun de son côté sabote le Max comme s'il vivait dans un autre pays.

    Je ne crois pas aux dictatures, Poutine a peut-être redressé un peu la Russie après le chaos des années 90 mais à tout foutu en s'aventurant dans une aventure militaire insensé, Erdogan aussi à entrainé la Turquie dans un désastre économique en s'obstinant à maintenir le taux d'intérêt bas.

    La dictature ne peut que mener à la mediocratie

    C'est comme tu dit, nous ne sommes ni Suédois ni Anglais, c'est peuples nous sont moralement très largement supérieur, j'ai aucun mal à le reconnaitre.


    Poutine et Erdogan on verra sur le long terme. Mais c'est déjà mieux que Nahda, Ben Ali, que Ks, que Nidaa et tout les autres.

  • C'est comme tu dit, nous ne sommes ni Suédois ni Anglais, c'est peuples nous sont moralement très largement supérieur, j'ai aucun mal à le reconnaitre.


    Poutine et Erdogan on verra sur le long terme. Mais c'est déjà mieux que Nahda, Ben Ali, que Ks, que Nidaa et tout les autres.

    Sur le long terme ? Poutine est déjà 22 ans au pouvoir et Erdogan plus de 16 ans, combien de temps il faut encore ? Ces présidents sont une catastrophe pour leurs pays

  • Alor les tunisiens aimerait bien vivre un catastrophe comme la Turquie ou la Russie ^^

    La Russie à l'avantage d'avoir le plus grand pays du monde, des ressources inépuisable ( pétrole, gaz, charbon, Or, platinum, cuivre, zinc, aluminium...) et une population éduquée et avec ça les ressources du pays sont entre les mains d'une poignée d oligarques, et à part les grands centres ( Moscou et Pétersbourg) la majeure partie du peuple vit dans des conditions précaires.

    Pour la Turquie la dernière fois que j'ai été la misère à augmenté de façon considérable et ceci à Istanbul la ville la plus dynamique

  • Sur le long terme ? Poutine est déjà 22 ans au pouvoir et Erdogan plus de 16 ans, combien de temps il faut encore ? Ces présidents sont une catastrophe pour leurs pays

    Tes franchement pas crédible c'est incroyable donc erdogan n'a rien fait en plusieurs mandats les belles depuis Bourguiba jusqu'à KS n'arrive pas a la cheville d'erdogan

    Issam a raison un erdogan ou poutine nous aurait fait du bien

  • Je traduis a SpilvanLondolsiLotfiAbdallahgame qui ne sais pas lire l'arabe vu qu'il est perse et lui sa came c'est le farsi.


    Sur le panneau c'est ecris "Madinat al Ghouraba" qu'on peut traduire par "Ville Des Exilés"

  • Tes franchement pas crédible c'est incroyable donc erdogan n'a rien fait en plusieurs mandats les belles depuis Bourguiba jusqu'à KS n'arrive pas a la cheville d'erdogan

    Issam a raison un erdogan ou poutine nous aurait fait du bien

    Peut être pour toi mais pour nous non, toi dès qu'on cite ton gourou tu arrives en courant 😃

  • sur libe


    depuis la révolution tunisienne de 2011, qui a annoncé des soulèvements dans le monde arabe, le pays jouit de l’un des environnements média­tiques les plus ouverts et les plus prospères de la région. Cela est maintenant gravement menacé, et le monde devrait en prendre note avant qu’une autre démocratie ne s’éteigne. Le mois dernier, le président tunisien, Kaïs Saïed, a publié un décret qui impose des sanctions financières et des peines de prison pour la production et la diffusion de «rumeurs et de fausses nouvelles». Dans un monde de plus en plus déstabilisé par la propagation rapide de la désinformation, l’approche de Saïed peut sembler louable dans un premier temps. En réalité, ce n’est que la dernière d’une ­série de prises de pouvoir par un dirigeant de plus en plus autocratique visant à étouffer la liberté d’expression et à supprimer les mécanismes de responsabilité. La nouvelle loi prévoit des peines d’emprisonnement allant jusqu’à cinq ans qui peuvent être infligées à quiconque «produira, promouvra, publiera, transmettra ou préparera de fausses nouvelles, déclarations, rumeurs ou documents falsifiés».

  • Si la cible des fausses informations ou des rumeurs est un fonctionnaire, la peine de prison peut être de dix ans.

    Le langage de la loi est vague et obscur, probablement délibérément. Le texte juridique du décret n’offre aucune définition d’expressions telles que «ordre public», ­«sécurité publique» ou «rumeurs et fausses nouvelles». Une législation aussi peu claire donne aux autorités une interprétation très large du crime et un pouvoir disproportionné de patrouiller la liberté d’expression. Mehdi Jelassi, le chef du Syndicat national des journalistes tunisiens, a dénoncé la dernière loi sur l’information comme «un coup sévère porté aux valeurs de la révolution».

    Le règne d’un seul homme

    Ce décret fait suite à une circulaire publiée plus tôt cette année qui restreint l’accès à l’information. Cette circulaire exige que les ministres obtiennent l’autorisation du bureau du Premier ministre avant de communiquer avec les médias, interrompant ainsi davantage la circulation de l’information entre les journalistes et les sources officielles. Même le secret de la correspondance, jusque-là protégé par la Constitution, est mis en péril. L’organisation à but non lucratif de défense des Droits de l’homme Euro-Med Monitor a observé que le décret «légalise la violation et la surveillance des communications et des données des individus, les privant du droit au maintien de la confidentialité… et accorde aux autorités l’accès à toutes leurs données privées».

  • Imposer des mesures aussi désastreuses et punitives à une presse libre effraiera les sources potentielles et réduira la capacité des journalistes à demander des comptes au pouvoir. Reporters sans frontières a rapidement condamné ce décret, le qualifiant de «draconien» et de créateur d’un climat de peur et d’autocensure qui «ne fera que faciliter les fausses informations que ce décret est censé combattre». Amnesty International a noté qu’un autre décret publié en mars de cette année, sous prétexte d’empêcher la spéculation sur les biens, imposerait aussi des peines d’emprison­nement à quiconque ferait des commentaires négatifs sur la politique économique du gouvernement.

  • Les changements majeurs dans la vie sociale et politique de la Tunisie ne sont plus que de simples annonces plutôt que le produit d’un processus démocratique sain et participatif. Dix ans après la révolution contre la dictature de trente ans de Ben Ali, le pays glisse à nouveau dans le règne d’un seul homme. En 2021, Saïed a limogé son Premier ministre, a suspendu le Parlement et s’est donné des pouvoirs judiciaires étendus, y compris la capacité de gouverner unilatéralement par décret.

    Dans une tentative de légitimer son autocoup d’Etat l’année dernière, Saïed a ­rédigé une nouvelle version de la Cons­titution cette année. Un juriste tunisien de haut rang qui a supervisé le projet le désavouera plus tard, déclarant qu’il avait été modifié à un point tel qu’il pourrait ouvrir la voie à un «régime dictatorial honteux». Néanmoins, le projet a été présenté lors d’un plébiscite malgré un boycott géné­ralisé de l’opposition et une participation de moins d’un tiers. Face à une intention aussi claire de pousser la Tunisie vers un régime unilatéral, il n’est pas étonnant que le président Saïed cherche à réduire au silence l’un des espaces médiatiques les plus florissants de la région. Il n’y a rien de mal en principe à contrer la prolifération de rumeurs préjudiciables et à protéger les individus contre la diffamation et la calomnie, mais ce décret ne fait guère plus que donner au gouvernement la capacité de contrôler le message.

  • L’organisation de défense de la liberté d’expression article 19 a déclaré que si le régime Saïed voulait vraiment lutter contre les fausses informations, il existe une série de moyens moins restrictifs qui peuvent être utilisés, notamment : «La promotion de mécanismes indépendants de vérification des faits, le soutien de l’Etat aux médias de service public indépendants et diversifiés, ainsi que l’éducation et l’éducation aux médias.» Le fait que les autorités aient choisi de ne s’engager dans aucune des anciennes options politiques fournit une indication supplémentaire de leur ­nature autoritaire.

    Persécution de l’opposition

    Déjà, avant la rédaction de ce décret, Ghazi Chaouachi, secrétaire général du parti d’opposition, Courant démocrate, était poursuivi pour avoir répandu des rumeurs après avoir tenu des propos critiques dans une émission de radio sur le Premier ministre. Le nouveau décret inscrit dans la loi ces mesures de répression croissantes contre la liberté d’expression et la persécution des personnalités de l’opposition. Il n’est pas inhabituel de chercher à changer un système politique si son efficacité laisse à désirer, mais le genre de décrets unilatéraux et antidémocratiques mandatés par le président Saïed au cours de la dernière année transforme le système audelà de toute reconnaissance.

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