Quelque infos que circule que :
l'officier Mauritanie de CAF présent a Rades a mit sur son rapport les conditions de jeux de sécurité, équité et le var ne sont pas réunit .
((Par ailleurs, la CAF avait la charge de coordonner et de contrôler l’organisation du match. Si effectivement, l’absence de VAR avant le début du match était avérée, celui-ci aurait dû être reporté ou alors les deux équipes auraient dû accepter formellement de jouer sans VAR avec information préalable du public avec un communiqué, ce qui n’a pas été le cas en l’espèce. Par ce simple constant, juridiquement, l’équité sportive a été bafouée et ceci invaliderait tout résultat devant un tribunal.
Dans la décision de rejouer le match, la CAF a mis en exergue uniquement la sécurité. Pourquoi ? La raison est simple. La sécurité dépend du la FTF et des autorités tunisiennes. Cette position permet d’éviter de mettre en cause directement la CAF et le comité de l’organisation des compétitions africaines, présidé par un certain Tarik Bouchamaoui. En effet, si la CAF avait pointé du doigt le gestion de la VAR, elle s’attaque ouvertement à TB.
Mon point de vue est que Ahmad Ahmad a tendu un piége à TB. En proposant de rejouer le match sine die, il va obliger les tunisiens à saisir le TAS et donc mettre à nu le « mauvaise organisation de TB » puisque c’est lui qui en avait la charge. Celui-ci pourrait donc être sanctionné directement comme un ministre lorsqu’il est limogé.
Ceci explique la surréaction du côté Tunisens et le revirement des Égyptiens. Suivant les principes de Pasqua, « il faut créer une affaire dans l’affaire », nous allons voir dans les prochains jours et prochaines semaines plein de choses remonter sur l’influence de Lekjaa, la corruption supposée d’Ahmad etc « Si je coule, je coule avec tout le monde ». ))