République Syndicale tunisienne
10/01/12 à 09:25
Les éternels insatisfaits font encore parler d'eux, des gens auxquels rien ne plait. Aujourd'hui, on veut que le gouvernement choisi par la majorité du peuple cède ou délègue ses pouvoirs.
Est- ce un nouveau colonialisme sous couvert de défense des travailleurs ?
Mais de quoi se mêlent-ils, et pourquoi retiennent-ils le pays en otage ?
Pourquoi une certaine presse insiste-elle pour donner une image nuisible au pays au risque de multiplier le nombre considérable de chômeurs?
Lundi, certains journalistes ont effectué un sit-in devant le siège du gouvernement ,
Que veulent-ils au juste ?
Ils veulent prendre les choses en main et confisquer le pouvoir de nommer qui leur plait, c'est-à-dire entre amis.
Un gâteau à se partager.
Enfin, j'ai été sidéré par la déclaration de la jeune présidente du syndicat des journalistes, Nejiba Hamrouni , cette jeune journaliste qui a une petite expérience dans le journalisme puisqu'elle a été correspondante de la revue Al Kawtar. Elle a donné une déclaration plus que surprenante à une radio privée.
En effet, elle nous menace de nous retrouver un jour sans aucun organe de presse. Mais au fait, pour qui se prend -t-elle ?
En somme, nous en sommes à un point où une minorité se croit tout permis au nom des libertés.