Messages par Jaziri123

    Absolument pas. Si un expatrié est plus fort je le dis par exemple Khazri, Seliti. Autre exemple Ben Yedder, pour moi c'est vraiment un joueur au dessus du lot mais il veut pas venir.

    Je dis juste que vous en faîtes trop sur Skhiri et en voyant ses matchs en L1 c'est pas un truc incroyable, je reste sur ce que j'ai vu de Ben Amor un joueur plus rapide et offensif.

    La majorité des gens n'ont même pas vu un seul match de Skhiri et ils vous vendent du rêve.

    Par expérience je vous le dis , des joueurs de la L1 on en a eu avec les aigles. Et franchement j'ai souvent vu des joueurs de LP1 faire mieux... Attendons les matchs amicaux inshALLAH.

    Il n’a pas le meme profil. N’attendez pas qu’il se projette vers l’avant pour aller dribbler 2-3 joueurs, c’est simple il ne sera pas faire. Skhiri est une pure sentinelle, un gratteur de ballon, exactement ce qui nous manque. Il excelle dans ce registre.

    Le plus intéressant dans cet article est la dernière phrase: " mon engagement ne se résume pas qu'à ça ( coupe du Monde)

    Absolumenr d’accord. Ça montre clairement qu’il ne compte pas prendre la fuite apres nos 3 matchs et s’inscrit dans la duree.

    Manque que Khaoui et nous tenons notre effectif.

    reelement khazri et msakni cest les joueurs les plus adroit devant le but utilise lun ou lautre comme faux neuf peut etre une solution mais avoir dautre profile avec dautre possibilite de jeu nest pas a neglige

    Un bon attaquant dos au but

    Un attaquant puissant

    Un attaquant fort dans le jeu aierien

    Cest des choix de jeu pour enrichir et donner plus de choix

    Bien sur. Personellement, j’aurai mis Khazri titulaire en 9 afin de faire jouer ou Sliti ou Khaoui avec Maskni au milieu, et j’aurai bien vu FBY comme remplacant de Khazri en attaque. D’ailleurs en Arabie Saoudite il est utilisé à ce poste. Il n’a ni la technique, ni la vision de jeu d’un ailier. A la rigueur il defend plutot bien, mais c’est tout. En pointe il nous offre une possibilité athletique. Parce que les courses de Khenissi ne nous apporterons absolument rien, et Akaichi joue sans cerveau et avec des pieds triangulaire donc c’est pas la peine.

    Il est un peu retombé dans ses travers sur ce match. Il etait cramé et sur chaque contre attaque il etait a la traine. Esperons que ce ne soit que sur ce match, mais ce soir il n’a absolument rien montré et Saint Maximin est revenu de blessure, il retournera donc sur le banc.

    Quand a Sliti, ce n’est plus le meme que sur le debut de saison, depuis sa blessure il a un petit coup de moins bien. Mais je ne me fais pas de soucis, vu ses capacités technique, il va vite retrouver son niveau.

    Haddadi fidele a lui meme, match en demi teinte avec des actions ou il semble infranchissable et d’autres ou il se montre extremement febrile. Il n’y a pas de doute pour l’instant, Maaloul est largement meilleur.

    Ce soir match tres interessant entre Dijon et Nice. Srarfi, Sliti et Haddadi sont annoncés titulaire. Srarfi etant ailier droit et Haddadi lateral gauche, ils seront donc au duel tout les deux ce soir. On peut aussi rajouter Sliti qui sera sur le meme coté vu qu’il joue milieu offensif gauche.

    Le petit est motivé, on sent qu'il a envie d'y arriver. Il a encore pas mal de boulot, notamment tenir le même rythme tout un match, mais aussi et surtout, dans l’aspect physique sur les duels. On le sent encore un peu timide. Il doit jouer sur ses qualités de percussion, comme le fait Saint Maximin sur l'aile gauche. Personne ne lui reprochera de perdre le ballon quelques fois parce qu'il a tenté. Maintenant, il doit etre plus decisif lorsque Favre fait appel à lui.


    Pour ce qui est de l'hygiene de vie en Tunisie, je n'etais pas au courant que les footballeurs pro ne pratiquent pas du tout de muscu. C'est choquant. On comprend mieux les corps de squelette de Sassi et Darragi. Concernant l'alimentation, c'est sans commentaire.

    L'INTERVIEW INTEGRALE : ( Le passage sur l’hygiène de vie en Tunisie est alarmant)


    Bassem Srarfi s’est confié pour la première fois depuis son arrivée en France, il y a un an.

    Arrivé à Nice il y a tout juste un an contre 1,5 million d’euros, Bassem Srarfi a vu sa cote grimper ces dernières semaines. Auteur du but de la victoire à Toulouse, en novembre, le Tunisien a ce soir-là fait basculer la saison du Gym dans le bon sens.

    Depuis, il enchaîne les matchs et le fait plutôt bien, même s’il semble en avoir encore sous la semelle. A 20 ans, Srarfi a découvert un nouveau monde. Pour la première, il se raconte. "A l’école, ce n’était vraiment pas ça, confie-t-il. J’ai d’ailleurs arrêté à seize ans. Il ne me restait que le football."


    Qu’est-ce qui a changé dans la vie de Bassem Srarfi depuis un an?

    Plein de choses... Je me sens plus costaud physiquement. J’ai mis tout en œuvre pour résister aux impacts. Quand je suis arrivé en Ligue 1, cela m’a surpris. En Tunisie, on ne travaille pas du tout la musculation. C’est du jeu et de la technique. Les premières fois que j’ai touché une barre, j’ai eu des courbatures de partout. J’en fais désormais trois fois par semaine. Mais bon, je ne pourrai jamais rivaliser avec Walter (Benitez) (rires). Lui, il est trop costaud, une vraie machine.


    Qu’est-ce qui manque le plus quand on quitte son pays, à seulement 18 ans?

    Ce n’est pas facile de quitter le cocon familial. Je vivais avec mes parents. Je ne pensais qu’au football. Le reste, je n’y pensais même pas.Il m’a fallu un peu de temps pour m’adapter à cette nouvelle vie. Je ne connaissais pas la France, ne parlais pas la langue...


    Il a notamment fallu changer certaines habitudes alimentaires, n’est-ce pas?

    Oh oui (rires) ! Au Club Africain, il n’y avait aucune restriction avant les matchs. On pouvait manger ce que l’on voulait, comme à la maison (sourires). Ici, ce n’est pas possible. Lors de la première mise au vert, je me suis servi une assiette avec des pâtes, de la sauce tomate, du fromage et plein d’autres choses. Le docteur m’a expliqué qu’il fallait manger de manière équilibrée. Cela m’a surpris. Maintenant, je fais attention. Quand ma mère est là, elle me fait de bons petits plats, mais seulement après les matchs.


    "Le club croit en moi, je le sens"


    Que connaissiez-vous de l’OGC Nice avant votre arrivée?


    C’est une équipe qui joue bien au ballon. Cela m’a convaincu au moment de choisir ce club (il était également en contact avec Lille, ndlr). Quand tu vois qu’il y a des joueurs comme Balotelli, Dante, ça donne envie également.


    Lucien Favre ne vous a pas lancé de suite en Ligue 1. Avez-vous douté durant ces mois passés sur le banc, voire avec la réserve?

    J’étais persuadé que j’allais progresser. Donc, non, je n’ai jamais douté. Pendant les six premiers mois, on ne perdait pratiquement jamais et il y avait de grands joueurs comme Belhanda ou Eysseric. Il fallait être patient. C’est ce que m’avait dit Julien Fournier au moment de ma signature. Un an après mon arrivée, je me sens prêt à m’imposer dans le onze. Nice me suivait depuis un moment. Le club croit en moi, je le sens.


    Les exploits d’Hatem Ben Arfa vous ont-ils inspiré?

    Hatem, je le connais bien car on est du même quartier à Tunis. J’ai même joué dans l’équipe de son neveu (Stade Tunisien). Lors du dernier ramadan, on a fait des matchs ensemble. Il me parlait de Nice. J’ai toujours aimé le joueur. On aurait préféré qu’il choisisse de jouer pour la Tunisie (sourires).


    Si on vous dit que vous avez réalisé votre match le plus abouti à Metz, vous en pensez quoi?

    Je suis d’accord. Physiquement, c’est le match où je me suis senti le mieux. Avec Mario (Balotelli), c’est très simple de jouer au ballon. On n’a même pas besoin de se regarder. Quand je rentre au pays, tout le monde me demande des maillots de Mario.


    Que vous apporte Lucien Favre au quotidien?

    Il est très important. Il m’a toujours beaucoup parlé, donné plein de conseils, même lorsque je ne jouais pas. Il me disait d’être patient, que ça allait venir.


    Votre but de la victoire à Toulouse (29 novembre dernier), c’est le déclic?

    Bien sûr, c’est mon premier but en France et, en plus, il offre trois points à l’équipe. C’était parfait, j’ai couru partout.


    Au sein de votre famille, il y avait des sportifs?

    Mon père jouait au football. On le surnommait “Diego” comme Maradona. Il jouait numéro dix. Mes parents viennent très souvent à Nice me voir. J’ai envie de rendre fier mes proches.


    Vous préférez évoluer dans l’axe ou sur un côté?

    (Direct). Sur un côté, le droit même...


    "La Coupe du Monde, c'est un rêve"


    En Tunisie, votre style de jeu plaît beaucoup...

    Oui, car c’est un pays de passionnés, de fanatiques qui préfèrent voir des gestes techniques, des petits ponts, plutôt que des longs ballons devant.


    Avez-vous simplifié votre jeu à Nice?

    Oui, car en Ligue 1, si tu perds un ballon, ça peut faire but dans l’action qui suit. Je m’attache à ne pas déséquilibrer l’équipe.


    Les supporters du Club Africain suivent de très près vos performances...

    C’est un club de passionnés, le plus populaire de Tunisie. Pour eux, je serai toujours un “clubiste”, mais ils sont devenus supporters du Gym. Il faut être costaud pour supporter la pression si jeune. Quand on perdait, on ne pouvait pas sortir dans la rue. Quand on gagnait, ça pouvait par contre être la folie à la boulangerie avec des photos, des autographes, etc. Mes potes regardent tous mes matchs. Ils me disent qu’il faut faire ceci, qu’il faut faire cela, mais je n’y prête pas trop attention (rires).


    Vous avez croisé Daniel Sanchez au Club Africain (coach de 2014 à 2015)?

    Oui, c’est lui qui m’a permis d’intégrer l’effectif professionnel.


    Et Yoann Touzghar (ex-Grasse), aussi?

    On a joué ensemble au Club Africain. Je le connais bien. Il va souvent à Grasse, je sais. Lors de mon premier match, je lui ai fait une passe décisive.


    En septembre dernier, vous avez été appelé pour la première fois en sélection nationale...

    C’est un bon message. Je veux jouer la Coupe du monde en Russie. C’est même un rêve.


    Avec Mouez Hassen (le gardien prêté à Châteauroux est sollicité pour intégrer les Aigles de Carthage)?

    On en parle... Mouez veut y aller aussi. Ce serait sympa d’avoir deux Niçois à la Coupe du monde.


    A l’entraînement, y a-t-il un joueur plus compliqué que les autres à dribbler?

    Je vais dire Dante, il a une telle expérience. Il sent les coups comme personne. Jamais, je n’oserai lui mettre un petit pont, Lui, c’est respect! Malang (Sarr) en prend pas mal, Mario aussi, parfois, dans les toros. Mais ça ne l’amuse pas du tout (sourires).


    Le club de vos rêves?

    Le Barça.


    Les supporters niçois?

    Ils me font penser à ceux du Club Africain. Ils sont chauds. J’adore la ville également, me balader dans le Vieux-Nice, ça me rappelle chez moi. Il y a plein de Tunisiens, d’ailleurs (sourires).


    Vos objectifs avec le Gym?

    Rejouer la Coupe d’Europe la saison prochaine. Avant ça, pourquoi ne pas au bout en ligue europa

    A part son carton bête sur un.tacle (ça devient saoulant son excès d engagement),match propre.0 erreur,relances propres.Il a couvert Bedimo qui était à la rue sur ce match.

    Ça reste qu une CFA par contre donc pas de quoi s enflammer,surtt qu il est derrière Rolando dans la hiérarchie.Il jouera pas titulaire contre Monaco sauf surprise

    L'excès d'engagement est son plus gros défaut, il ne réfléchis pas et n'essaie pas d'anticiper et lire une action. Le problème c'est qu'il est toujours à la limite et ses interventions ne sont jamais rassurante. J'ai regardé chacun de ses matchs avec l'OM cette saison, et mis à part contre Strasbourg, il n'a jamais été super bons. Il a parfois était correct, mais après qu'il est pris le bouillon durant les 2 matchs face au Rennais et notamment dans ses duels face à Khazri, il a je pense plongé mentalement. C'est dommage