Posts by Safsaf

    17 février 1946
    Naissance de Tahar Chaïbi الطاهر الشايبي

    Tahar Chaïbi الطاهر الشايبي , né le 17 février 1946 à Tunis et mort le 29 avril 2014, est un footballeur international tunisien.
    « Tahar Boy », comme le surnomment ses amis, grandit dans le quartier tunisois de Bab Jedid, fief populaire de l'équipe de football du Club africain. Dès son enfance, il est passionné par le football, lui consacrant l'essentiel de son temps et de son intérêt au point de reléguer au second plan ses études. Mais il arrive à s'imposer sur les terrains aux côtés de ses compagnons, comme lui de futures vedettes du football national. Chaïbi est avantagé par une morphologie impressionnante et une puissance qui intimide.
    En signant dès 1959 sa première licence au Club africain, il déclenche le processus qui fera de lui la principale attraction du football tunisien entre 1963 et 1973.
    Le public découvre son talent lors de la finale de la coupe de Tunisie juniors disputée en 1963 contre l'Espérance sportive de Tunis et remportée sur un score de 3-0, dont un but de Chaïbi qui compte à ses côtés Sadok Sassi, Abderrahmane Rahmouni, Youssef Kaouel, etc. À l'âge de 17 ans, le 6 octobre 1963, il dispute son premier match parmi les seniors face au Sfax railway sport. L'équipe l'emporte par 5 à 0 alors que Chaïbi inscrit un premier but. Avec Sadok Sassi dit « Attouga », son ami d'enfance, il apporte une précieuse contribution à un Club africain privé de succès depuis l'indépendance du pays et qui se contente de deux infructueuses finales de coupe en 1956 et 1963. Le jeune attaquant fait sensation par sa vélocité et un football en rupture avec le paysage de l'époque. Sa force de pénétration affaiblie les défenses adverses au grand bonheur du buteur du club Mohamed Salah Jedidi.
    L'ambition du club se matérialise même si Chaïbi échoue dans son premier derby tunisois, face à l'Espérance sportive de Tunis, le 3 novembre 1963 (0-2). Sa fébrilité empêche également l'équipe de prendre sa revanche lors du match retour tenu le 20 mars 1964. Toutefois, le sacre est finalement remporté et le club s'inscrit dès lors dans une dynamique de succès permettant à Chaïbi de récolter régulièrement les trophées à l'exception des années 1966 et 1971, ce qu'aucun footballeur tunisien n'a pu réaliser à ce jour. Même en 1964-1965, lorsque son club est coiffé au poteau en championnat par le Stade tunisien, Chaïbi prend sur son compte d'assurer la compensation en finale de la coupe face à un Avenir sportif de La Marsa qui ne manquait pas d'ambition. Dès 1971, il commence à connaître des problèmes de santé mais continue à lutter jusqu'au bout en continuant à prêter main-forte à ses camarades jusqu'en 1975.
    À l'âge de 19 ans, il intègre enfin la sélection nationale lors d'un match amical joué face aux Hongrois du Ferencváros TC, le 21 février 1965 au stade Chedly-Zouiten (0-0), puis dispute son premier match officiel contre le Maroc huit jours plus tard. Il acquiert la notoriété le 2 mai 1965 en inscrivant à Casablanca l'unique but du match opposant la sélection nationale à celle du Maroc.
    D'un pas assuré, Chaïbi entame une carrière internationale et succède graduellement à son idole Noureddine Diwa dans le cœur des Tunisiens. En équipe nationale, il entrevoit de grandes perspectives après une sévère élimination aux Jeux olympiques d'été de 1968 par tirage au sort profitant au Maroc. En effet, une victoire historique en phase préliminaire de la coupe du monde 1970, le 17 novembre 1968 à Alger (2-1), semble promettre à la sélection un voyage au Mexique. La mobilisation des professionnels algériens lors du match retour n'impressionne pas outre mesure Chaïbi et ses camarades (0-0). Mais face au Maroc, la double confrontation se déroule essentiellement dans une psychose récurrente. Un match d'appui s'impose donc. À Marseille, Chaïbi bénéficie du renfort de Noureddine Diwa au point d'ouvrir le score dès la troisième minute. Ce n'est pas suffisant car le chassé-croisé débouche finalement sur le nul et un tirage au sort à nouveau favorable au Maroc. Il fait partie de la sélection nationale jusqu'en 1972, année au cours de laquelle il clôt le 23 avril sa carrière internationale contre l'équipe du Maroc.


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    Auteur : Soufiene Yahyaoui

    Les relations entre l'Étoile et le CAB ont été toujours bonnes, il y'a eu déjà un précèdent quand l'Étoile à perdu à Sousse contre le cab pour les sauver de la relegation mais pour cette année ça les prive d'un point dans la deuxième phase qui sera sûrement important après

    C'est vrai et le CAB (qui est un club que j'apprécie d'ailleurs) pèse énormément dans les coulisses et ça ne date pas de WJ, l'EST leur a aussi offert un match en alignant une équipe C il y a 2 saisons je crois si ma mémoire est bonne, personne ne crie au scandale car ces choses se font subtilement et sont pratiquées par des grandes équipes, si c'était des petits poucets ça serait une autre histoire. On aurait eu le droit à des tribunaux médiatiques comme la saison dernière.

    C'est un 2 poids 2 mesures.

    L'ESS voulait elle vraiment remporter son match face au CAB ?

    Lorsqu'on sait que cette même équipe du CAB fut impuissante et incapable de faire plier Megrine un modeste club de Ligue III dans le temps réglementaire.

    Quand on revisionne les séquences du match ayant opposé le CAB à l'ESS et notamment l'action du 2ème but marquée une passivité défensive déconcertante il y a de quoi s'interroger.

    Surtout lorsque l'on sait que l'ESS est fortement redevable à la FTF cette saison pour régulariser la situation financière du Club (qui s'est vu octroyer un prêt et ils ont meme placé Balbouli en CDM).

    Le CAB est choyé par la FTF c'est un secret de polichinelle au même titre que d'autres club.

    On devrait ouvrir une enquête sur ce match comme les autres matchs de la dernière journée de la phase régulière.


    S'agissant de Mkacher il propose un jeu insipide certes mais il y aurait apparemment des interférences de certains dirigeants dans ses choix ce qui a précipité son départ, c'est ce qu'il se dit.

    On peut ne pas aimer Adel Sellimi mais de la à le comparer à une grosse daube comme Kanzari faut arrêter un peu.. Sellimi fait du bon travail au CA avec le peu de moyen qu'on lui donne. Kanzari c'est un pourcelet qui ne mérite même pas une équipe de division 2 tunisienne..

    On l'a vu lors du derby durant les play-off face à l'ES Tunis où il fut incapable de conserver un score alors que son équipe était en supériorité numérique, pire encore il a réussi à perdre le match en encaissant 3 buts du fait de ses lacunes tactiques criantes.

    Adel Sellimi n'est pas meilleur que Maher Kanzari, ils se valent simplement le 1er est plus éduqué et consensuel que le second, ils servent les intérêts de leurs clubs respectifs au détriment de la sélection et on a déjà eu l'occasion de l'observer malheureusement.

    7 buts entre Sidi Bouzid et Metlaoui

    Une équipe du CAB qui a tout juste le niveau pour évoluer en LP1 s'impose sur le score de 2-0 face à l'Etoile et diwan fm n'a même pas assuré la diffusion de cette rencontre

    Je trouve cela très bizarre