Darkzilla a écrit:Marzouki président quelle déception
Politiquement il se tire une balle dans le pieds ....
Dommage j'aurais aimé le voir président élu par le peuple
Maintenant il est président j’espère qu'il oubliera le CPR et son passé
Président de la république c'est président de tous les tunisiens
Nahdha ne donnera rien gratuitement je me demande le prix a payer pour ce poste (on verra lors de l’écriture de la constitution)
Quand Businessnews faisait la propagande de la Charia islamique pour les beaux yeux de Sakhr El Matri et évoquait "les dysfonctionnements et multiples dérives du capitalisme financier libéral" avant de se convertir en capitaliste sauvage pour les beaux yeux du RCD attaqué par l'UGTT puis en anti tout ce qui a un lien avec l'Islam pour les beaux yeux de Marwan Mabrouk et les associations laïques (comprendre islamophobes) financées par la France en guerre contre Ennahdha... un capitaliste sauvage qui, surtout faut le rappeler, soutenait les partis de gauche!!!
TTC a écrit:Free y'a t'il des intentions chez ennahdha de changer le drapeau tunisien?
tt les drapeaux ne sont que pure invention ...un seul drapeau existe c le drapeau de la oumma le drapeau du tawhid la banniere noire et blanche
Emna Menif!
CitationAfficher toutSans entrer dans un débat de fond sur le statut des mères célibataires qui a suscité une nouvelle polémique, les déclarations de Souad Abderrahim sur RMC Daoulia sont pour le moins déconcertantes. Car à une question de Droit, la femme politique a apporté une réponse moralisatrice. Elle a encore une fois, comme c’est maintenant l’habitude depuis la révolution, emmené le débat sur un terrain passionnel et provocateur, à dimensions cultuelle, culturelle et identitaire.
Encore une fois, les défenseurs irréductibles de l’Egalité et des Libertés s’embourbent dans le piège qui leur est tendu, qui pervertit leur message et creuse le fossé entre les différentes composantes du peuple tunisien.
Encore une fois, les termes du débat sous lequel sont abordées les questions des Libertés et des Droits de la femme sont mal choisis. L’enjeu essentiel est d’inscrire dans la nouvelle constitution tunisienne le respect et l’application des traités ratifiés par l’Etat tunisien, le principe intangible d’égalité entre tous les citoyens sans discrimination et en particulier l’égalité totale entre les hommes et les femmes, de même que la garantie de toutes les libertés individuelles et collectives et leur intangibilité. Le statut des mères célibataires, autant que d’autres sujets touchant aux droits des femmes et à d’autres questions de société, sont une affaire de législation qui devra être débattue au moment voulu.
Bien sur qu’il nous revient d’être vigilant sur les acquis et revendicatif sur la nécessité de faire évoluer Droits et Libertés. Pour autant, nous n’avons pas le droit de noyer le débat de fond et les principes fondamentaux dans des particularismes clivant. Ce serait contre productif.
Et ne perdons pas de vue les objectifs de notre révolution. Elle a balayé une dictature et appelé à rompre avec l’autoritarisme et le népotisme. Qu’en est-il de la démocratie ? L’alibi de l’intérêt national nous entraîne vers un concept surprenant, celui d’une démocratie consensuelle. Pourtant, le fondement de la démocratie n’est pas le consensus mais le débat contradictoire et l’équilibre entre pouvoirs et contre pouvoirs. Si la distribution des portefeuilles ministériels est un des exercices légitimes d’une coalition que les urnes ont légitimée, la distribution des fonctions électives devrait nous heurter au lieu d’éveiller une curiosité impatiente. N’est ce pas une forme d’usurpation des prérogatives de la première assemblée démocratiquement élue de la Tunisie indépendante ?
La révolution a dénoncé les inégalités entre les régions. Où est le débat sur la démocratie locale ? Ne devrons-nous pas faire du débat sur l’organisation des pouvoirs et sur les prérogatives des conseils régionaux et municipaux une priorité, avant de nous préoccuper, alors même que l’Assemblée Constituante ne s’est même pas réunie, de la date des prochaines élections municipales ? Peut-on seulement évoquer une quelconque échéance électorale avant même que le pays ne soit doté d’une constitution qui définit le régime politique et organise les structures de l’Etat ?
Mais plus important encore, les indicateurs économiques sont alarmants et les chiffres du chômage effrayants. Ce n’est pas qu’une équation économique. Ce sont des hommes et des femmes, ce sont des familles dans le désœuvrement et la désespérance. La révolution de la Dignité est venue en réponse à l’injustice et aux drames humains qu’elle a engendrée. Nous ne sommes pas en droit de l’occulter ou de l’oublier.
Les arcanes du pouvoir et les sentiers tortueux de la politique politicienne ne sont ni les préoccupations de notre peuple ni ne correspondent aux objectifs de sa révolution. La classe politique, avec toutes ses composantes et quelle que soit l’idéologie qui l’anime, a un devoir de vérité et de responsabilité.
Ne manquons pas le rendez vous avec notre Peuple, avec notre Pays, avec notre Histoire.
11:11:11
Rabi yostor :E6:
bousbir a écrit:Trouver sur FCB!
Tan pis, on gardera notre religion, on ne veut pas la vendre au diable 
ousta a écrit:tu nous dis " les incorruptibles d'ennahda " quel preuve tu as pour tenir de tels affirmations ? ennahda prone le systeme liberal pour l'economie et logiquement ils sont plus du cote des capitalistes que du peuple , aussi plusieurs anciens rcd ont integre les rangs de ce parti et il y'a maintenant plusieurs hommes d'affaires impliques avec l'ancien regime qui financent ce parti en retour d'une immunite apres , tu diras bien sur que ce sont des calomnies que je n'ai pas de preuves , le futur prouvera que ce j'avance est vrai et la nahdha a ce que je vois est une autre facette du capitalisme sous le couvert de la religion et la destruction systematique du socialisme et de la classe moyenne qu'a commence ben ali va etre terminee par eux et j'en suis sur .
le socialisme (echtirakia) non merci quand on voit que ça nous a apporté les pires monstres de l'histoire (kadhafi, assad, saddam)
azertyy a écrit:Afficher toutLe chômage ma9dour 3lih avec le relance de l’économie, le vrai problème l'augmentation des prix des biens
Quand un prix augmente pour des raisons exceptionnelles il revient jamais a la valeur initiale quand les conditions redeviennent normales.
par exemple chkaret simén ne sera plus a 5.500D comme au 14 janvier même si on multiplie la production par 2, pour les producteurs le citoyens a payer 12D, 11D, ... et maintenant 9 dinars et les depots sont vides alors pourquoi vendre a 5.500D?
le même raisonnement pour tous les produits, wil mssiba elkbira les produits alimentaires
c'est normal, ça s'appelle l'inflation
moha013 a écrit:Afficher toutBon, je pose la question ... et je réponds !
C'est la représentante du Pole en France Nord ( klet kabbout rappelons le ), une certaine Nadia Chaabane, et bien c'est elle qui a lancé la polémique autour des "zaniyat" ( ils disent les femmes célibataires pour ne pas choquer la société tunisienne ), ils n'osent pas dire "les femmes non mariées qui ont eu un bébé dans le 7ram".
Bref, et bien c'est elle qui était invitée hier sur radio MonteCarlo avec Souad Abderrahim, elle fait parti des femmes démocrates ( awka men mar9tou béyen 3achéh ), elle fait aussi parti de quelques associations féministes françaises, elle "milite" ( enfin, c'est ce qu'elle dit ) pour l'égalité homme et femme et la séparation islam/politique.
Pour le reste, vous avez votre ami google, cette femme est un vrai danger pour la société tunisienne ( comme toutes les femmes anti démocrates d'ailleurs )
Est ce que comme association française tu pense à l'association "mi p... mi s..." de fadela amara et siham habchi ?
Freerider a écrit:Afficher toutjouer la carte islamiste par le RCD à travers Hamdi et non plus Sakhr El Matri date du 12 janvier
https://www.facebook.com/photo.php?v=2638502405894
la date à laquelle Nejib Chebbi et Ahmed Ibrahim ont accepté une alliance avec Ben Ali pour jouer le rôle de la vraie fausse opposition de décor...
hamdi c'est pas une carte islamiste, c'est une carte clown !
sérieux quand je regarde ses monologues sur sa chaine il devrait se reconvertir dans le théatre !
Wahid a écrit:Afficher toutWajih attaque tout ce qui a rapport avec Ennahdha, exactement comme il fait en football avec l'EST :E6:
conernant la viste de Ghannouchi à Qatar, je ne comprends pas pourquoi les gens qui critiquent Ghannouchi n'ont rien dit quand Sebsi a visité la France et a passé une semaine aux Etats Unis ?
pourquoi ils n'ont rien dit concernant les ministres de Sebsi qui ont la double nationalité tunisienne et française ?
pourquoi ils n'ont rien dit concernant la traitrise de Souhir Ben Hassine qui a demandé l'intervention de la France en Tunisie ?
à mon avis Ghannouchi a lancé un message trés clair à la France, la Tunisie n'est plus un protectorat français et elle peut se débrouiller pour trouver des investissements en dehors de la France
apparemment cet avertissement a donné ses fruits car la France a complétement changé son dicours
personnellement je suis pour diversifier les investissements, les forunisseurs et les clients de la Tunsie et ne plus rester à la merci de la France
je sais que les bourguibistes et les pro-France veulent que la Tunisie reste toujours un annexe de la France
Ghannouchi est il lui même un binational Tounsi UK ?
CHERMITICHIKHAOUI a écrit:la plupart sont contre ennahdha juste pasque c est un parti ISLAMIQUE c est tout rien dautre c est pathetique on croirait lire des francais ou des pro sarko limit la democratie et la laicite a remplacer l islam comme religion pour certains
je ne vois pas le rapport entre démocratie et laicité dans ta phrase
TTC a écrit:Free y'a t'il des intentions chez ennahdha de changer le drapeau tunisien?
Je crois que certains voulaient recolorier le rouge par du violet avant le 14 janvier mais la révolution les en a empêché
com.taraji.psg a écrit:le socialisme (echtirakia) non merci quand on voit que ça nous a apporté les pires monstres de l'histoire (kadhafi, assad, saddam)
ce ne sont pas des socialistes mais des nationalistes ( baath et adeptes de abdenasser ) comme les fasxistes en italie ou les nazistes en allemagne
com.taraji.psg a écrit:hamdi c'est pas une carte islamiste, c'est une carte clown !
sérieux quand je regarde ses monologues sur sa chaine il devrait se reconvertir dans le théatre !
pour le moment ca marche pas mal pour lui en jouant ce jeu
Freerider a écrit:11:11:11
Rabi yostor :E6:
c'est la journee contre la mondialisation aujourdhui ? non ?
Freerider a écrit:mthabet frança mahiyech mkhobiya :w00t: trabelsiya ? w la agrebi? w la zneidi? w la Ben Ali?
3andek preuve , pour agrebi ou zenayedi pour moi be3abes kabbar par contre sakher matri ou B.trabelsi et surtout leila et son mari sont les plus gros poisson , autre chose je ne défend pas la France mais le Qatar aussi il n'est pas aussi clean , autre chose peut n'importe je suis un économiste ( ma formation )ou famma la loi de l'offre et la demande , la France a besoin d'une main d'ouvre qualifié et à bon marché en plus un court transit time ma tajem talka hadha el kol kan fe tounes , pour nous on a besoin de projet bach nekhademou leblad on a pas de pétrole ou de gaz ou de mines d'ors bach nestaghnaw 3ali7om donc on est obligé de garder de bonne relations avec eux , tekolli a soutenu le régime pendant 23 ans nekolek , la youghayerou allahou men kawemen hata youghayerou ma be anfousehom autre chose nachid rasmi meta3ena idha cha3ebou yawman arad el hayet ma kalech franca .
moha013 a écrit:Afficher toutOusta, j'ai une question simple et directe ( si ça ne te dérange pas ), tu considère que la Tunisie est un pays arabo-musulman ?
Oui ou Non ?
tres difficile comme question :confused: , voyons la tunisie est un pays latino bouddiste ? ou africano paien ? non je penses plutot mediterraneen chretien c'est ça ?
mais franchement je ne comprends pas le contexte de ta reponse , la tunisie est le pays le plus arabe du monde arabe et le plus musluman on a ni minorités ethniques ni religieuses importantes comme les autres pays arabes , tu vas maintenant me sortit le discours de zaba la 7 novembre qu'il est temps pour la tunisie de retrouver son identité et tout le bla bla d'apres ... :laughing1:
CitationAfficher toutL’agence de notation Standard & Poor’s, dans une évaluation du secteur bancaire tunisien publiée mercredi 9 novembre 2011, a indiqué qu’elle maintenait le BICRA (Banking Industry Country Risk Assessment) de la Tunisie dans le groupe '8 '. Elle a également décidé la révision du score de risque économique de 8 à 7, et a attribué le score de risque du secteur de '8 '.
Standard & Poor’s justifie cette notation par plusieurs raisons:«Nous avons examiné le secteur bancaire de la République tunisienne (devises étrangères BBB-/Negative/A-3, monnaie locale BBB/Negative/A-3) conformément à notre méthodologie BICRA mise à jour. Suivant nos critères, le cadre BICRA est défini comme étant "conçu pour évaluer et comparer les systèmes bancaires mondiaux." Une analyse BICRA pour un pays couvre les institutions financières notées et non notés qui reçoivent des dépôts, accordent des crédits, ou sont engagées dans les deux activités à la fois. Un BICRA est noté sur une échelle de 1 à 10, allant du risque le plus bas des systèmes bancaires (groupe '1 ') au risque le plus élevé (groupe '10'). D'autres pays classés dans le groupe '8 ' de BICRA incluent le Liban, l'Argentine, l'Uruguay et la Géorgie. Notre score de risque économique de '7 'reflète notre opinion que la Tunisie a un «risque élevé» dans «la résilience économique», un «risque intermédiaire» dans les «déséquilibres économiques» et un «risque très élevé» dans le «risque de crédit dans l'économie», tels que nos critères définissent ces termes.
L'économie tunisienne est diversifiée et a fait preuve de résilience pendant la récession économique de 2008-2010. Cependant, divers chocs, notamment les incertitudes liées à la transition politique à la suite de l'éviction de l'ancien président Ben Ali, une chute des recettes du tourisme, et les perspectives de croissance plus faibles chez son principal partenaire commercial, l’UE, ont entaché les perspectives de croissance de la Tunisie. Il n'existe aucun signe d'une bulle immobilière en Tunisie, malgré la rapide flambée des prix de l'immobilier au cours des cinq dernières années. La précédente croissance économique et la demande intérieure soutenue en matière d’habitat ont contribué, à notre avis, à la stabilité du marché. Dans les conditions économiques actuelles, nous prévoyons que la croissance de l'immobilier et des actions sera limitée sur le court terme.
La croissance du crédit est susceptible de rester faible, et nous nous attendons à une augmentation des créances douteuses des banques à court et à moyen terme suite aux troubles politiques de 2011 alors que les banques publiques qui traînent d'importants actifs à problèmes hérités des précédentes crises ont tendance à appliquer des normes de souscription souples. Toutefois, les banques privées ont tendance à utiliser des normes de souscription plus conservatrices et ont donc des niveaux de créances à problèmes beaucoup plus bas.
Notre score de risque du secteur de '8 'pour la Tunisie est basée sur notre opinion que le pays est confronté à "un très haut risque» dans son «cadre institutionnel», à un «risque élevé» dans la «dynamique de la concurrence» et à «un risque très élevé" dans "l'ensemble du système financement », tels que nos critères définissent ces termes. Notre évaluation de «risque très élevé" appliquée au cadre institutionnel est étayée par un cadre réglementaire que nous considérons comme conservateur en termes d'exigences de solvabilité et de classification des prêts non performants (PNP). Cependant, cela est compensé dans une certaine mesure par la législation récente qui permet aux banques de ne pas classer comme improductifs de nouveaux prêts douteux découlant de la crise politique 2011. Les banques tunisiennes ont mis en place des provisionnements insuffisants pour la couverture des prêts à problèmes, à notre avis, et les autorités de régulation n'ont pas encore mis en œuvre les règles de Bâle II pour identifier tous les risques.
La banque centrale a soutenu le système bancaire par le passé et dans les conditions difficiles actuelles, mais nous considérons ses récent résultats comme modérés étant donné le besoin d’opérer des injections de capitaux qui se font toujours attendre au profit des banques publiques faiblement capitalisées. Nous considérons également que la supervision du secteur bancaire est à peine suffisante. Les banques tunisiennes ont l'appétit du risque élevé, avec un secteur qui est fragmenté et concurrentiel.
Cela conduit à de faibles marges et une rentabilité qui l’est autant. Bien que le secteur bancaire tunisien ait été très stable dans le passé, nous nous attendons à ce que les futures réformes changent la dynamique concurrentielle dans une certaine mesure, permettant de consolider et d’ouvrir potentiellement la voie à de nouveaux entrants. Il n'y a pas de distorsions du marché qui affectent le secteur en particulier. Les banques tunisiennes ne se signalent pas par des risques élevés liés aux caractéristiques des produits complexes ou risqués.
Le système bancaire est principalement financé par une base de dépôts clientèle stable. Toutefois, les dépôts des clients majeurs en tant que part du total des prêts sont inférieurs à ceux de certaines banques similaires régionales. Le soutien financier des banques-mères étrangères est limité et ne concerne qu'une poignée de banques privées qui contrôlent une modeste part de marché. Ces caractéristiques sont étayées par un étroit marché de capitaux de la dette intérieure.
Nous considérons que le gouvernement tunisien est «amène » envers le secteur bancaire local. Tout en prenant acte des interventions de soutien, nous sommes d'avis que le gouvernement a limité la flexibilité financière et la capacité de fournir un soutien financier exceptionnel au cours des périodes difficiles.» Source:Standard&Poor’. (d'après Tustex)
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