TF - Histoire de la Tunisie

  • Je ne comprends pas en quoi c'est malsain ? Au contraire la génétique comme n'importe quelle science en se développant peut enlever plusieurs préjugés .et chacun a le droit de connaître ses origines , c'est un besoin humain .

    Jai explique pourquoi sa peut être malsain

    Pour ma part j'ai pas besoin de savoir ceux qu'étaient mes ancêtres il y a des siècles .

    Il y a une logique imparable ton identité d'aujourd'hui a été forgé il y a des siècles certains sont un peu frustrés mais bon chacun sa façon de voir les choses

  • Jai explique pourquoi sa peut être malsain

    Pour ma part j'ai pas besoin de savoir ceux qu'étaient mes ancêtres il y a des siècles .

    Il y a une logique imparable ton identité d'aujourd'hui a été forgé il y a des siècles certains sont un peu frustrés mais bon chacun sa façon de voir les choses

    Quelle logique !! Si toi tu n'est pas intéressé d'autres le sont , pourquoi frustrés 🙄

  • any answer?

    En Tunisie ce mot est négatif et designe les tribus établis autour des villes comme les zlass autour de Kairouan ou les methalith autour de Sfax , pour l'origine ça doit être dans l'inconscient collectif après l'arrivée des béni hilal qui ont dévasté l'Afrique du Nord

  • En Tunisie ce mot est négatif et designe les tribus établis autour des villes comme les zlass autour de Kairouan ou les methalith autour de Sfax , pour l'origine ça doit être dans l'inconscient collectif après l'arrivée des béni hilal qui ont dévasté l'Afrique du Nord

    je trouve bizarre qu'on utilise ce mot pour des femmes tatouées alors c'est pas une tradition arabe mais berbere d'ou ma question

  • En Tunisie ce mot est négatif et designe les tribus établis autour des villes comme les zlass autour de Kairouan ou les methalith autour de Sfax , pour l'origine ça doit être dans l'inconscient collectif après l'arrivée des béni hilal qui ont dévasté l'Afrique du Nord

    Dis-moi, tu peux m'expliquer pourquoi les Louati sont spécialement sfaxiens, du moins du gouvernorat, alors qu'ils descendent des Laguatans, les Lawata cités par Ibn Khaldoun, et qui étaient au 6ème siècle un peuple berbère de Tripolitaine ?

  • Dis-moi, tu peux m'expliquer pourquoi les Louati sont spécialement sfaxiens, du moins du gouvernorat, alors qu'ils descendent des Laguatans, les Lawata cités par Ibn Khaldoun, et qui étaient au 6ème siècle un peuple berbère de Tripolitaine ?

    Les louatis est une famille a Sfax qui vit dans la ville .

    Comme le dit azerty a Sfax on apelle 3erbene les etrangers a la ville du monde rural et peut etre ce mot est resté après l'invasion hilalienne car il désigne des gens primitifs , sauvage et sans culture citadine , bref comme on dirait un plouc en France

  • Au 14 ème siècle Ibn khaldoun un illustre savant , inventeur de la sociologie comme science et le premier avoir cherché une logique dans les faits historiques avait une idée négative des Arabes bédouins

    يقول ” ابن خلدون ” في وصف الأعراب : إن الأعراب أمّة وحشية ، أهل نهب وعبث ، وإذا تغلبوا على أوطان أسرع إليها الخراب ، يهدّمون الصروح والمباني ليأخذوا حجارتها أثافي للقدور ، ويخرّبون السقوف ليعمّروا بها خيامهم ، وليست لهم عناية بالأحكام وزجر الناس عن المفاسد ، وإنهم أبعد الناس عن العلوم والصناعات .


    إن العرب بغير الدين يتشبثون بالسلطة ولا يتنازل الواحد منهم حتى لأبيه ، وربما قتل أباه أو أخاه من أجل السلطة ، إن العرب لا يحصل لهم الملك إلا بصيغة دينية أو ولاية أو أثر عظيم من الدين بسبب خلق التوحّش المتأصّل فيهم وهم أصعب الأمم انقياداً بعضهم لبعض للغلظة التي فيهم والأنفة وبعد الهمّة والمنافسة في الرياسة فقلّما تجتمع أهواءهم .

  • ''Mahdia, l’antique Aphrodisium, est l’héritière d’un ancien comptoir punique établi sur un promontoire (presqu’île) inexpugnable : le Cap d’Afrique. Par rapport aux différents mouillages qui parsèment le littoral entre Chebba et Ras Dimas, le site d’Aphrodisium se distingue par la sûreté de son port, taillé dans la roche, à l’abri de la houle.
    Les fouilles archéologiques ont confirmé que la façade maritime de la Byzacium, futur Sahel, avait connu de longues périodes de prospérité. La côte était le débouché d’un territoire opulent où la terre était fécondée par le travail depuis les temps immémoriaux. La région vouée à la céréaliculture sous les Carthaginois se convertit à l’oléiculture avec les Romains. Les produits du terroir étaient drainés puis dirigés vers les ports par quelques cités-marchés tels qu’El Jem, l’ancienne Thysdrus, point de convergence de plusieurs voies de communication. Preuve de cette richesse, les monuments majestueux qui parsèment le Byzacium, dont le cirque et le grand amphithéâtre d’El Jem dont la contenance respective est de 30 000 spectateurs. Et plus encore, les trésors de monnaies d’or romaines trouvés à Chebba et à Fadhline. Les fonds marins ne sont pas en reste : en 1907, des pêcheurs d’éponges découvrent à six kms au large de Mahdia, par 42 m de fond, l’épave un navire marchand grec échoué à la suite d'une tempête survenue au 1er siècle av. J.-C. Ce dernier renfermait un riche chargement d'œuvres d'art et d'éléments architecturaux qui sont aujourd’hui conservés au Musée du Bardo. Légèrement excentrée par rapport aux grandes voies de communication terrestre, Mahdia ne connaîtra ses heures de gloires que tardivement. Elle se vit élever au rang de capitale lorsque le calife fatimide Mahdi en fit en 914 une ville princière et lui donna son nom. De ce promontoire fortifié, les Fatimides vont régner jusqu’en 973 sur l’Ifriqiya, le Maghreb central, la Sicile et la Tripolitaine. Retranchés dans leur presqu’île, les Fatimides élèvent des fortifications, un palais, des souks, une mosquée et un arsenal. Dès lors, Mahdia sera une cible privilégiée par les conquérants : rebelles Kharijites, tribus hilaliennes, Normands, Espagnols et Turcs.
    Le centre historique de Mahdia compte aujourd’hui, outre un musée qui abrite des objets remontant à l’antiquité et à la période fatimide, des monuments médiévaux bien conservés : la Grande Mosquée construite en 916, la Skifa Kahla qui marque l’entrée de la vieille cité fatimide, la Mosquée Hadj Mustapha Hamza (1772) dont l’architecture s’inspire de l’art ottoman et Borj Al Kébir , une forteresse turque construite en 1596 après la destruction de la ville et de ses remparts par les Espagnols. ''


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