TF - Coin Des Nabbaras [2022-2023]

  • Vendredi, l’armée israélienne a abattu une infirmière palestinienne qui tentait de secourir un manifestant gazaoui à Khan Younis, au sud-est de la bande de Gaza. Selon les témoignages recueillis par Reuters, Razan al-Najar approchait du blessé, habillée de sa blouse blanche, et les bras en l’air, quand elle a reçu une balle dans la poitrine...


    Allah yarhamha cette info à fait le tour du monde quasi pas relayé en France, les sionistes genocidaire nazi en action

  • Vendredi, l’armée israélienne a abattu une infirmière palestinienne qui tentait de secourir un manifestant gazaoui à Khan Younis, au sud-est de la bande de Gaza. Selon les témoignages recueillis par Reuters, Razan al-Najar approchait du blessé, habillée de sa blouse blanche, et les bras en l’air, quand elle a reçu une balle dans la poitrine...


    Allah yarhamha cette info à fait le tour du monde quasi pas relayé en France, les sionistes genocidaire nazi en action

    Pas étonnant que la presse en France n'a pas relayé cette info , elle est muselé par les sionistes. Drahi détenteur des nationalités Israéliennes , Française , Portugaise a racheté toute la Presse.

  • Match amicaux: Les Palestiniens demandent à Messi de ne pas jouer face à Israël


    MIS À JOUR LE 03/06/18 À 18H47


    S'il joue, il faudra «brûler» son maillot explique le président de la Fédération...


    Le président de la Fédération palestinienne de football a demandé dimanche à Lionel Messi de ne pas participer samedi à Jérusalem au match amical de l'Argentine contre Israël, appelant à «brûler» ses maillots s'il jouait.

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    Il s'agit du dernier match de préparation de l'Argentine, dont Messi est le capitaine, avant la Coupe du monde en Russie.

    «Messi est un symbole de paix et d'amour, nous lui demandons de ne pas participer au blanchiment des crimes de l'occupation» israélienne, a affirmé à des journalistes le président de la Fédération palestinienne, Jibril Rajoub.

    M. Rajoub a indiqué avoir remis dimanche au représentant de l'Argentine à Ramallah, en Cisjordanie occupée, une lettre en ce sens adressée au gouvernement et à la Fédération argentins.

    «Nous allons lancer une campagne contre la Fédération argentine, en visant personnellement (Lionel) Messi qui compte des dizaines de millions de fans dans les pays arabes et musulmans», a également dit M. Rahjoub aux journalistes. «Nous leur demandons à tous de brûler leurs maillots à son nom et les posters de lui».


    Un outil politique


    «D'une rencontre sportive, ce match est devenu un outil politique, le gouvernement israélien tentant de lui conférer une portée politique en insistant pour qu'il se déroule à Jérusalem», a-t-il expliqué.

    Le ministère israélien des Sports, contacté par l'AFP, n'a pas réagi dans l'immédiat. Fin mai, la société qui commercialise les billets pour ce match amical avait annoncé avoir vendu en 20 minutes les 20.000 places disponibles au grand public. Le stade Teddy de Jérusalem a une capacité d'environ 31.000 places.

    Le statut de Jérusalem est l'une des questions les plus épineuses dans le cadre d'un règlement du conflit israélo-palestinien.

    Israël s'est emparé de Jérusalem-Est en 1967 et l'a annexé, déclarant en 1980 toute la ville comme sa capitale «éternelle» et «indivisible».

    Cette annexion n'a jamais été reconnue par la communauté internationale, qui considère la partie orientale de Jérusalem comme territoire occupé. Les Palestiniens la revendiquent comme la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.

    La sélection argentine, actuellement en stage à Barcelone (Espagne), affrontera l'Islande lors de son premier match du Mondial, le 16 juin. Dans le groupe D, elle jouera ensuite contre la Croatie puis le Nigeria.


    20 Minutes avec AFP


    MOTS-CLÉS :


    palestineconflit israelo-palestinien Football israël


    03/06/18

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    J'espère que Messi refusera de jouer contre Israël et à Jérusalem il en va de sa crédibilité

  • Le 8 février, elle entrait dans l’Histoire. Ce jour-là, dans un combat qui se jouait à guichets fermés à Pensacola (Floride), aux Etats-Unis, Ikram Kerwat terrassait l’Américaine Angel Gladney et devenait championne du monde poids légers de boxe anglaise. Un exploit pour celle qui n’avait commencé sa carrière professionnelle que trois ans plus tôt. La boxeuse tuniso-allemande s’était empressée de partager sa victoire avec ses fans en postant sur les réseaux sociaux : « Je suis fière d’être tunisienne, arabe et musulmane. »

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    Née à Béja, dans le nord de la Tunisie, la jeune femme de 34 ans n’a pas oublié d’où elle vient. « C’est dans cette ville, alors que j’avais 9 ans, que pour la première fois de ma vie j’ai touché un gant de boxe. Je m’en souviens comme si c’était hier », confie-t-elle, émue, en montrant sa ceinture de boxe sur laquelle est gravé le drapeau de son pays natal. Passionnée depuis l’enfance par les sports de combat, elle s’essaie au judo dès l’âge de 4 ans. Et, à 13 ans, elle suit ses parents en Allemagne, à Francfort, où elle donnera libre cours à son amour de la boxe. Elle regardait à la télévision les matchs des légendes de la discipline : Mohamed Ali, Mike Tyson et Roy Jones Jr n’ont plus de secrets pour elle. Elle décide alors d’écumer les clubs de boxe pour faire comme ses idoles. Jusqu’au jour où Ikram rencontre Eppie Chapman, ancien champion du monde de kickboxing, qui, voyant en elle une graine de légende, devient son entraîneur.

    Lire aussi: Boxeuses à Marseille. Gagner contre le destin

    Mais Ikram doit s’éloigner des salles pour se consacrer à sa famille. Pendant quelques années, la boxe n’est plus pour elle qu’une bulle d’oxygène, un hobby. Mariée, mère de deux enfants, cette femme de caractère n’oublie pourtant pas qu’elle est faite pour le ring.


    A 25 ans, Ikram Kerwat part s’installer à Berlin et reprend ses gants pour combattre en amateur au SC Eintracht Berlin. En 2010, elle est sacrée championne de la ville et troisième du podium national allemand. La machine est relancée.

    Roy Jones Jr, qu’elle adulait petite, devient son entraîneur et son manageur. « Je suis bénie, déclare-t-elle, car aujourd’hui, je travaille avec lui, une légende, c’est une bénédiction et un honneur. » Cinq ans plus tard, la jeune femme entame une carrière professionnelle à l’Universal Hall de Berlin, où elle enchaîne les victoires : sept dont six par KO.


    Mais ses plus grands combats se font aussi en dehors du ring : elle s’attelle à mettre KO les a priori en montrant aux jeunes filles que sa discipline n’est pas un sport réservé aux seuls hommes. « Certes, ma mère m’avait interdit la boxe quand j’étais jeune, comme une mère qui essaie de protéger sa fille », confie celle qui brava l’interdiction maternelle pour réaliser ses rêves.

    Invitée d’honneur à l’ambassade de Tunisie à Berlin le 8 mars 2017, la championne a désormais l’ambition d’organiser des combats de haut niveau en invitant des gros calibres d’arts martiaux mixtes (MMA) et de boxing dans son pays natal, où elle collabore déjà avec Ayman Ben Hassine sur le projet Tunisian Fighters. Dans le but de mettre en valeur le tourisme sportif et de « redorer l’image de son pays », Ikram Kerwat est en discussion avec Majdouline Cherni, la ministre tunisienne de la Jeunesse et des Sports, pour construction d’une école de boxe. Son défi personnel : « Travailler dur pour laisser un héritage et préparer le terrain aux jeunes de demain », déclare-t-elle.

    Toute reproduction interdite

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