ousta a écrit:wahid c'est toi qui critique simplement pour critiquer , si tu penses que le poste de ministre d'affaires etrangeres ne requiet pas d'experience alors autant mettre n'importe quel pion diplomé dans ce poste puisque l'image de la tunisie n'a pas d'importance , pour habib essid c'est une autre paire de manches a cause de son passé pourri , je ne comprend pas comment tu fais l'amalgame entre ces 2 affaires ou tu fais le relais des pages nahdhaouistes de FB
Personne n'a d'expérience à ce poste sauf les RCDistes.
On fait la fine bouche pour la nomination du beau-fils de Ghanouchi car on exige de ce parti d'ètre parfait et irréprochable mais quand on regarde le parcours de Si Rafik Abdessalem (on est au passage très loin de Matr El Satri)et En Nahda a mis le plus compétent à ce poste mais manque de bol le citoyen lambda ne va retenir juste retenir que c'est le beau-frère de Rchouda.Perso je pense qu'on aurait quand mème du éviter aux Tunisiens de se rappeler des mauvais souvenirs mais En Nahda ne sera pas jugé par des éléctions au bout d'un an sur ses résultats?Au final c'est juste En Nahda qui a pris un gros pari éléctoral pour le bien du pays car tout le monde tombera sur le mouvement si l'ami Abdessalem se ramasse(dans le cas bien sur ou c'est lui le futur ministre)
Parcours de Rafik Abdessalem:
Abdessalem est titulaire d’une maîtrise en philosophie puis d’un Doctorat en politique et relations internationales de l’Université de Westminster au Royaume Uni.
Il était l’une des icônes de la lutte estudiantine à la fin des années 80, quand il était membre du Bureau exécutif de l’Union Générale Tunisienne des Étudiants (UGTE) de 1987 à 1990 avant d’immigrer au Maroc puis au Royaume Uni à cause des poursuites policières du temps de Ben Ali.
Rafik Abdessalem a créé, en Grande Bretagne, l’Institut maghrébin de recherches et de traduction, il a présidé la Tribune de Londres pour le dialogue, une tribune qui regroupait une élite de politiciens et intellectuels installés à Londres. Il avait occupé plusieurs fonctions dont chercheur à l’Université de Westminster, chercheur visiteur au Centre des recherches islamiques à Oxford et maître conférencier au Centre Marc Field pour les Hautes études en grande Bretagne. Il est actuellement chef de la division des recherches et d’études au centre Al Jazeera.
Rafik Abdessalem est également membre de plusieurs comités de recherche, il a contribué à plusieurs commissions de recherches et d’études dont le Centre New Process qui regroupe plusieurs ministres et personnalités politiques internationales.
Il est également rédacteur assidu au journal « Ashark Al Awssat » et à d’autres journaux et magazines arabes, il a aussi des publications dont : « La religion, la laïcité et la démocratie », « Les États Unis d’Amérique entre la force dure et la force douce », il a un nouvel ouvrage en cours d’impression (en anglais) « Les réformes islamiques et la modernité »en plus des dizaines de billets et de notes publiées en anglais et en arabe ainsi que des participations à des séminaires et conférences internationales.