Waddle a écrit:Le problème khouya, c'est qu'il faut au préalable qu'on se mette d'accord sur la forme d'islam à suivre (et je t avoue que je n'ai pas envie d'entrer dans ce sujet) afin que je puisse te dire s'il y a oui ou non la compétence aujourd'hui en Tunisie.
Ce que je peux t affirmer, c'est qu'il y a pas mal de docteurs tunisiens, inconnus pour la plupart du public tunisien, qui enseignent à l'étranger (ils y ont été forcé) et qui peuvent répondre à ce défi. D'ailleurs certains d'entre eux commencent à revenir comme par ex un docteur en oussoul (fondements du fiqh) du nom de Nourdine mo5tar al 5admi, qui a enseigné dans les trois universités islamiques d'Arabie saoudite dont la très réputée de riyad et qui a pas mal d'ouvrages.
L'heritage laissé par attahar Ben achour ne sait pas éteint wa lillahi l7amd. Il a inspiré des générations entières et ce jusqu'à aujourd hui, mazal el 5ir fi tounes.
C'est clair que l'œuvre de Tahir Ben Achour est un sacré patrimoine nationale qu'il faut l'enseigner.
Personnellement, je ne connais pas beaucoup de tunisiens spécialisé dans l'islam contemporain sortis des écoles de Cheikh Albani, ibn baz ou el Ghazali...
Je pense qu'il faut s'appuyer sur des gens comme Cheikh Adnan, Echen9iti ou Raslan et essayer de construire autour d'eux. J'ai entendu Cheikh Bachir el Hassan par exemple ( j'ai assisté à beaucoup de ces 5otab à Villiers) , je trouve qu'il est correct, mais il n'est pas une référence en sciences légiférées