L’urgence, c’est boucler les fins de mois et faire les réformes .
Si elles sont brutales d’emblée et généralisées, tu te prends une déflagration sociale .
Si tu ne le fais pas , tu te prends la déflagration un peu plus tard, de façon beaucoup plus violente et tu finis comme Haïti à brouter de l’herbe.
Le FMI dans ses rapports le comprend. Les réformes ne sont ps faites d’emblée lais progressivement et les lignes de crédit se débloquent au fur et à mesure.
Pour cela , il faut être connecté au réel ce que n’est pas ce sénile qui nous fait une alzheimer en nous citant les chansons de son enfance .
Quand au chantage aux migrants , les occidentaux peuvent gérer . Ils ont l’arme atomique des visas et de l’aide au développement.