Salam les frères. Ah frères espérantistes comme je vous envie... j'aurais fait la même si vous ne nous aviez pas sortie en quart de finale 
Maintenant si vous me payez mon billet d'avion, m'hébergez, m'escortez au stade avec mon maillot de l'étoile ( pour le meilleur comme pour le pire
)... je vous accompagnerais avec plaisir 
.
Profitez bien si vous vous décidez à y aller et ncha ALLAH marbouha.
Salam les frères. Ah frères espérantistes comme je vous envie... j'aurais fait la même si vous ne nous aviez pas sortie en quart de finale
Maintenant si vous me payez mon billet d'avion, m'hébergez, m'escortez au stade avec mon maillot de l'étoile ( pour le meilleur comme pour le pire
Profitez bien si vous vous décidez à y aller et ncha ALLAH marbouha.
Pour le meilleur
pareil jvai prendre le vol du vendredi matin nchallah
Bon vol et bon match, de Villeneuve le roi ça va etre rapide pour arriver à Orly.
Bon vol et bon match, de Villeneuve le roi ça va etre rapide pour arriver à Orly.
merci frero mdrrr 10mn d'orly
Promis moi que tu ne vas te remettre à nos insulter en rentrant
Promis frère mdrr
Je suis assez surpris et à la fois non, j'ai des amis etoilistes et sfaxiens qui iront voir la finale retour à Rades pour supporter le représentant tunisien.
En voila de vrais tunisiens qui savent séparer la rivalité locale avec la rivalité sur le plan continentale
Rien de surprenant, je supporte aussi les autres équipes et si l'occasion se présente a me fait plaisir d'assister un finale ou l'ESS, CSS ou CA seront nos représentants.
C'est la fierté d'appartenance a une pays et le plaisir de voir un finale continentale pour les amateur du sport et le jeu.
Malheureusement je peux pas voir la finale de mon équipe préféré, déjà si j'aurai le temps de le suivre sur net sa sera formidable, le travail oblige le match aller comme le retour tombe un vendredi.
CAF Champions League 2018 : Finale grandiose en perspetive. Photo | Reuters
La finale de la Ligue des Champions Total 2018 opposera l'Espérance de Tunis aux Cairotes d'Al Ahly, un sommet du football africain qui sera la réédition du quart-de-finale de l'édition précédente qui avait vu les Egyptiens l'emporter de justesse.
Quel formidable scénario à Tunis dans l'enceinte de Radès. Les données étaient simples. Les Angolais du Primeiro de Agosto possédaient un but d'avance à l'issue de la première manche. Et chacun d'imaginer une prime à l'expérience qui ne pouvait pas ne pas favoriser l'Espérance de Tunis, un des "Grands" d'Afrique, toujours présent mais rarement récompensé. Un but de retard ne devait pas l'effrayer.
Ne croyez pas cela. A peine 9 minutes de jeu et Geraldo doublait l'avantage des Angolais. 1 + 1 = 2 buts. Les Tunisiens devaient maintenant marquer trois buts pour aller en finale. Ils attendront la fin du premier quart d'heure avant d'égaliser sur un pénalty transformé par Youssef Blaïli. Dix minutes plus tard, l'Espérance prend pour la première fois le commandement sur une tête de Mohamed Ali Yaakoubi. 2-1, c'est le score à la mi-temps et le Primeiro de Agosto est alors qualifié. Il confortera sa qualification en marquant un second but, signé Mongo Bokamba à la 64e minute. Dans une atmosphère qu'on devine facilement. Mais Haythem Jouini (74') et Anice Badri (84') porteront le score à 4-2 et auront finalement la peau des Angolais, au terme d'une demi-finale un peu abracadabrantesque !
Un coup d'oeil sur les statistiques est intéressant:
- possession de balle: 65/35% en faveur des Tunisiens
- tirs au but: 20 dont 6 cadrés pour l'Espérance; 7 dont 5 cadrés pour le Primeiro
- corners: 8/2 en faveur de l'Espérance.
La deuxième demi-finale commencée deux heures plus tard a commencé comme la première avec l'ouverture du score par l'équipe en déplacement, en l'occurrence Al Ahly. Mais il aura fallu patienter une heure pour voir le gardien de l'Entente Sportive de Sétif, Mustapha Zeghba aller cueillir le ballon au fond de ses filets. Il restait trente bonnes minutes à jouer et les Algériens se retrouvaient au pied du mur algérien. Il leur fallait réussir quatre buts pour aller en finale. Les Sétifiens s'accrochèrent et allaient marquer à deux reprises par Mohamed Bakir (68') puis par Houssameddine Guecha (72'). A l'arrivée il en manquera encore deux pour voir Sétif atteindre la finale. Peine perdue.
Les statistiques ne plairont pas aux joueurs algériens, tant ils se sont montrés dominateurs:
- possession de balle: 67/33% en leur faveur
- tirs au but: 18 dont 5 cadrés pour Sétif; 8 dont six cadrés pour Al Ahly
- corners: 18 pour les Algériens contre 3 pour les Egyptiens.
Les statistiques sont une chose, le tableau d'affichage une autre.
Toujours est-il qu'on peut espérer une finale grandiose car Espérance - Al Ahly cela a de la gueule.
CAFOnline.com
Allez, une victoire en Égypte sera la clé du sacre.
faut jouer la gagne en Egypte, et boucler cette finale des le match aller. Al Ahly fera tout pour gagner et donc on aura bcp d'espace en contre et d'opportunités
Allez, une victoire en Égypte sera la clé du sacre.
mème une victoire 1-0 ne rassure pas , au retour ahly plusieurs fois est venu marqué 2 but a rades
Le mois prochain sera chaud bouillant avec des confrontations Égyptio-Tunisienne
Final de CL
suivi par un Égypte - Tunisie
C'est une affiche de rêve (2 et 7 novembre prochain), une affaire de suprématie entre deux poids lourds du football africain. En jeu entre l'Espérance Tunis et le Ahly du Caire, il y a la 54e Ligue d'Afrique des champions à conquérir ainsi qu'une qualification en Coupe du monde des clubs. Présentation des deux équipes.
Al-Ahly : le Real Madrid africain
Al-Ahly : le Real Madrid africain
C'est un ogre à l'échelle continentale. Al Ahly s'est qualifié pour la 12e fois de son histoire en finale de la Ligue des champions de la CAF. Le club égyptien trône sur le continent avec huit succès largement devant le Zamalek et le TP Mazembe, cinq titres. Il souffle l'esprit du succès africain sur l'équipe du Caire. 111 ans et 6 mois que le club aux quarante Championnats gagnés a vu le jour... En 1907, comme le MC Alger en Algérie, le club est d'abord un outil de lutte contre la colonisation créé par des étudiants. En arabe, "Al Ahly" signifie "le national". L'histoire est en marche. Et rien n'arrêtera l'équipe la plus populaire du pays. Son aura croît à partir de 1948 où Al Ahly remporte les dix premiers Championnats de la jeune ligue nationale.
Avec près de 60 millions de supporters dans le monde dont 4 millions sur Twitter et 3.5 sur Instagram, Al Ahly est le "club du peuple" avec une renommée incomparable symbolisée par des joueurs fantastiques passés dans ses rangs : Mokhtar El Tetsh, Refaat El Fanagily, El Khatib ou encore Mohamed Aboutrika... L'institution africaine avait été endeuillée après le drame de Port-Saïd en 2012, des affrontements ayant alors fait 74 morts et des centaines de blessés, après un match de Championnat entre Al-Masry à Al-Ahly. Le club, détruit par cette tragédie, a été condamné à jouer ses matches de Ligue des champions à huis clos pendant plusieurs saisons avant de progressivement retrouver une forme de normalité. Toujours sur le devant de scène, Al Ahly possède une attractivité incomparable sur le continent. La direction du club égyptien a récemment officialisé l'accord portant sur un nouveau contrat de sponsoring maillot. 30 millions de dollars sur quatre ans, encore un record africain...
Espérance Tunis, la Vieille Dame africaine
Avec plus de 99 ans d'existence, le club est considéré, à l'instar de la Juventus, comme une Vieille Dame éternelle. Le “Taraji” (“Espérance” en français) est une institution, le plus beau palmarès de Tunisie, mais aussi l'un des plus complets du continent africain. Comme le Ahly du Caire, le club est largement comparable à des écuries de L1. «Il y a un vrai engouement pour l'Espérance. Les gens aiment leur club. C'est un club vraiment bien structuré, et je pense que beaucoup de gens ne sont pas au courant du niveau de professionnalisme de l'EST», nous a confié l'ex-international algérien Anthar Yahia, passé au club en 2013. Le niveau a toujours été très bon. «L'Espérance peut rivaliser avec des équipes de Ligue 1. C'est souvent l'ossature de l'équipe de Tunisie, il y a pas mal d'internationaux, et l'Espérance a la culture de la gagne», poursuit Anthar Yahia.
Moins fournie au niveau du palmarès que les Cairotes, l'Espérance demeure un spécialiste africain avec notamment deux participations phares en 1994 et 2011 où le club de Tunis est resté invaincu lors de toute la compétition. Mais les Sang et Or détiennent aussi un triste record avec le plus grand nombre de défaites en finale (4). L'Espérance, c'est aussi des grands noms qui ont jalonné le parcours d'excellence du club du quartier de Bab Souika à Tunis. Il y a le must avec Tarek Dhiab, Ballon d'Or africain 1977, et d'autres aussi célèbres (Darragi, Ben Yahia, Msakni, Chokri El Ouaer...). Une réputation mondiale pour une institution qui fêtera son centenaire le 15 janvier prochain au cours d'un match de gala où le FC Barcelone est espéré.
Nabil Djellit
francefootball.fr
Le gambien Bakary Papa Gassama désigné pour diriger la finale aller.
Il subit déjà la pression des égyptiens qui l'accusent de favoriser le WAC lors de la finale retour de l'édition précédente !
Dhaouadi, Kom et Chaâlali qui risquent la suspension en cas de second avertissement ! Sinon cette fois ce n'est pas 2012 ou nous avons de problème de banc, Kom doit faire très attention les deux autre on peut le remplacer en cas ou.
Afficher toutMaghreb FC : L'Afrique attend son Juve-Real
C'est une affiche de rêve (2 et 7 novembre prochain), une affaire de suprématie entre deux poids lourds du football africain. En jeu entre l'Espérance Tunis et le Ahly du Caire, il y a la 54e Ligue d'Afrique des champions à conquérir ainsi qu'une qualification en Coupe du monde des clubs. Présentation des deux équipes.
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C'est un ogre à l'échelle continentale. Al Ahly s'est qualifié pour la 12e fois de son histoire en finale de la Ligue des champions de la CAF. Le club égyptien trône sur le continent avec huit succès largement devant le Zamalek et le TP Mazembe, cinq titres. Il souffle l'esprit du succès africain sur l'équipe du Caire. 111 ans et 6 mois que le club aux quarante Championnats gagnés a vu le jour... En 1907, comme le MC Alger en Algérie, le club est d'abord un outil de lutte contre la colonisation créé par des étudiants. En arabe, "Al Ahly" signifie "le national". L'histoire est en marche. Et rien n'arrêtera l'équipe la plus populaire du pays. Son aura croît à partir de 1948 où Al Ahly remporte les dix premiers Championnats de la jeune ligue nationale.
Avec près de 60 millions de supporters dans le monde dont 4 millions sur Twitter et 3.5 sur Instagram, Al Ahly est le "club du peuple" avec une renommée incomparable symbolisée par des joueurs fantastiques passés dans ses rangs : Mokhtar El Tetsh, Refaat El Fanagily, El Khatib ou encore Mohamed Aboutrika... L'institution africaine avait été endeuillée après le drame de Port-Saïd en 2012, des affrontements ayant alors fait 74 morts et des centaines de blessés, après un match de Championnat entre Al-Masry à Al-Ahly. Le club, détruit par cette tragédie, a été condamné à jouer ses matches de Ligue des champions à huis clos pendant plusieurs saisons avant de progressivement retrouver une forme de normalité. Toujours sur le devant de scène, Al Ahly possède une attractivité incomparable sur le continent. La direction du club égyptien a récemment officialisé l'accord portant sur un nouveau contrat de sponsoring maillot. 30 millions de dollars sur quatre ans, encore un record africain...
Espérance Tunis, la Vieille Dame africaine
Avec plus de 99 ans d'existence, le club est considéré, à l'instar de la Juventus, comme une Vieille Dame éternelle. Le “Taraji” (“Espérance” en français) est une institution, le plus beau palmarès de Tunisie, mais aussi l'un des plus complets du continent africain. Comme le Ahly du Caire, le club est largement comparable à des écuries de L1. «Il y a un vrai engouement pour l'Espérance. Les gens aiment leur club. C'est un club vraiment bien structuré, et je pense que beaucoup de gens ne sont pas au courant du niveau de professionnalisme de l'EST», nous a confié l'ex-international algérien Anthar Yahia, passé au club en 2013. Le niveau a toujours été très bon. «L'Espérance peut rivaliser avec des équipes de Ligue 1. C'est souvent l'ossature de l'équipe de Tunisie, il y a pas mal d'internationaux, et l'Espérance a la culture de la gagne», poursuit Anthar Yahia.
Moins fournie au niveau du palmarès que les Cairotes, l'Espérance demeure un spécialiste africain avec notamment deux participations phares en 1994 et 2011 où le club de Tunis est resté invaincu lors de toute la compétition. Mais les Sang et Or détiennent aussi un triste record avec le plus grand nombre de défaites en finale (4). L'Espérance, c'est aussi des grands noms qui ont jalonné le parcours d'excellence du club du quartier de Bab Souika à Tunis. Il y a le must avec Tarek Dhiab, Ballon d'Or africain 1977, et d'autres aussi célèbres (Darragi, Ben Yahia, Msakni, Chokri El Ouaer...). Une réputation mondiale pour une institution qui fêtera son centenaire le 15 janvier prochain au cours d'un match de gala où le FC Barcelone est espéré.
Nabil Djellit
francefootball.fr
on va dire que l'ess est Milan(était fort avant) et le CA le psg (équipe de dingue mais nul dans les grands matchs)
60.000 égyptien a l'aller.
bonne chance au doyen des clubs tunisiens il faudra marquer , ressere la defense , gagner la bataille du milieu etre pret physiquement
on va dire que l'ess est Milan(était fort avant) et le CA le psg (équipe de dingue mais nul dans les grands matchs)
C'est France football qui ont fait cette comparaison sur le parcours des deux équipes loin de toute partisane, il y a que les chiffres qui parlent.
L'ESS et le CSS ont des bon parcours en Afrique mais le CA sa rentre même pas dans les tops 20 des équipes Africaine dommage!
Inchallah marbouha pour l'EST on est a deux pas du sacre et bonne chance a l'ESS contre le WAC mais le parcours est encore long.
Comparaison n'est pas raison. Je trouvais cet article de FF étonnant à faire des analogies avec le réal et la juve.
Surtout le passage sur des équipes qui n'ont rien à envier à la ligue 1??
Puis ensuite, je vois que celui qui a signé l'article est Nabil djellit aka nabilou: le mec qui estimait que mahrez n'avait rien à envier à neymar et tout s'expliqua
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