TF - Histoire de la Tunisie

  • Au 14 ème siècle Ibn khaldoun un illustre savant , inventeur de la sociologie comme science et le premier avoir cherché une logique dans les faits historiques avait une idée négative des Arabes bédouins

    يقول ” ابن خلدون ” في وصف الأعراب : إن الأعراب أمّة وحشية ، أهل نهب وعبث ، وإذا تغلبوا على أوطان أسرع إليها الخراب ، يهدّمون الصروح والمباني ليأخذوا حجارتها أثافي للقدور ، ويخرّبون السقوف ليعمّروا بها خيامهم ، وليست لهم عناية بالأحكام وزجر الناس عن المفاسد ، وإنهم أبعد الناس عن العلوم والصناعات .


    إن العرب بغير الدين يتشبثون بالسلطة ولا يتنازل الواحد منهم حتى لأبيه ، وربما قتل أباه أو أخاه من أجل السلطة ، إن العرب لا يحصل لهم الملك إلا بصيغة دينية أو ولاية أو أثر عظيم من الدين بسبب خلق التوحّش المتأصّل فيهم وهم أصعب الأمم انقياداً بعضهم لبعض للغلظة التي فيهم والأنفة وبعد الهمّة والمنافسة في الرياسة فقلّما تجتمع أهواءهم .

    pour la 1ere partie il parle d el a3raab pas des arabes

    mais pour la deuxième les font comme tout le monde (t a qu a voir ce qu ils on fait les américains pour ce faire élire :P)

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  • pour la 1ere partie il parle d el a3raab pas des arabes

    mais pour la deuxième les font comme tout le monde (t a qu a voir ce qu ils on fait les américains pour ce faire élire :P)

    Les européens ont génocide toute un continent pour créé les usa

    Que dire du terroriste djihadiste Christophe Colomb

  • Mahdia une très belle ville , qui peut douter que cette ville calme et très méditerranéenne a été le centre du premier califat chiite les fatimides et qui même ébranlé par la révolution kharijite était un empire puissant et qui englobait la Tunisie , de grandes parties de l'Algérie , de la Libye, la Sicile et Malte et malgres tout regardaient du côté de l'est , celui qui ira au Caire ne peut que constater la ressemblance entre skifa El kahla et les portes du Caire construites dans le même style

  • L'oleiculture a débuté avec Hannibal qui a vécu dans cette région et y a planté une multitude d'oliviers.


    Il y a 5 ans à Ras Dimas (la plage de Bekalta) en me promenant sur la plage j'ai vu des fouilles de l'autre côté de la route.

    Il y avait une énorme villa romaine de l'ère Républicaine ensevelie avec un temple (surement pour Vesta). A certains endroits, il fallait descendre très bas pour trouver les greniers et les logements des esclaves.

    Elle semblait avoir été très opulente et appartenue à un grand dignitaire Romain.

  • L'oleiculture a débuté avec Hannibal qui a vécu dans cette région et y a planté une multitude d'oliviers.


    Il y a 5 ans à Ras Dimas (la plage de Bekalta) en me promenant sur la plage j'ai vu des fouilles de l'autre côté de la route.

    Il y avait une énorme villa romaine de l'ère Républicaine ensevelie avec un temple (surement pour Vesta). A certains endroits, il fallait descendre très bas pour trouver les greniers et les logements des esclaves.

    Elle semblait avoir été très opulente et appartenue à un grand dignitaire Romain.

    Intéressant ! Il faudra aller voir quand je serais en Tunisie

  • Sfax est considérée depuis le XVIIIe siècle comme la seconde ville de Tunisie tant par le nombre de ses habitants que par la diversité de ses activités. Elle doit cette position à son excellente situation au croisement des voies caravanières Nord-Sud et Ouest-Est.

    Sfax n’a pas de racines antiques. De création islamique, elle a été créée en 849, sous les Aghlabide, sur un site propre, à proximité d’un Ribat, selon un plan régulier qui s’inspire en partie des traditions urbaines orientales. Bâtie, grâce au réemploi de matériaux d’origine antique, Sfax est souvent considérée comme l’héritière de l’antique cité romaine, Taparura, située à quelques Kms du site originel.

    Paradoxalement, la ville aghlabide, érigée sur un territoire intensément romanisé, ne s’est pas approprié un site ancien. Les marques de romanisation sont nombreuses dans la région, en témoignent les vestiges de Thyna, l’ancienne Thaenae, au sud de Sfax, et les monuments de Henchir Rougga, ancienne Bararus, sise à 45 km au nord de Sfax, qui s’étend sur plus de 100 hectares sur lesquels s’élèvent les restes d’un amphithéâtre, une basilique, des citernes monumentales et un forum au dessous duquel on a découvert en 1972, un trésor de 268 pièces de monnaies d'or d'époque byzantine. Plus à l’Est, sur le littoral, non loin de Chebba, le site archéologique d’Achola-Botria n’est pas en reste, il comporte tous les équipements d’une ancienne cité romaine : vestiges d’un théâtre, des thermes et surtout une riche collection de mosaïques, dont la célèbre mosaïque du « triomphe de Neptune et les quatre saisons » exposée aujourd’hui au Musée du Bardo.

    La ville aghlabide, remaniée au fil du temps, a conservé sa structure originelle. En 2012, la Tunisie la propose pour un futur classement sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco. La Médina de Sfax est, en effet, considérée comme l’une des rares cités médiévales méditerranéennes à avoir conservé intacts les traits essentiels de l’urbanisme arabo-musulman. L’enceinte fortifiée est par ailleurs un des échantillons les mieux conservés de l’architecture militaire arabo-islamique. La Médina est aujourd’hui l’hypercentre de la ville de Sfax, débordant d’activité, elle abrite outre les demeures, les mosquées, les mausolées, les boutiques artisanales, les souks, organisés par métier, le Musée des arts et traditions populaires : Dar Jallouli, palais de style andalous, construit au XVIIe s.

    Sfax, ville commerçante par excellence, dispose d’un port naturellement abrité par l’archipel de Kerkhena. Quoiqu’ouverte sur l’ensemble de la Méditerranée, Sfax était, jusqu’au XVIIIe s. davantage tournée vers les ports d’Istanbul et d’Alexandrie et plus largement vers le Levant. Sous le Protectorat français, elle se voit doter d’un port moderne qui devient à partir de 1899 le débouché des produits exportables de l’arrière-pays et notamment des phosphates de Gafsa.

    Sfax entretient des liens étroits avec sa campagne. Son oliveraie, rénovée depuis 1892 grâce à une association réussie entre le capital, le travail et le savoir-faire ancestral, en a fait la capitale tunisienne de l’huile. Dans l’environnement immédiat de Sfax, une auréole verte s’est formée au fil des siècles grâce à l’aménagement de milliers de vergers, les « Jenens », qui sont aujourd’hui autant d’aires de repos ou de résidences pour les citadins qui ont l’opportunité de fuir les bruits de la ville.


  • La région de Medenine, située au carrefour des pistes sahariennes et limitrophe de la Tripolitaine, a toujours été au cœur des mutations qui ont marqué l’histoire de la Tunisie. La région s’articule autour de trois ensembles : les confins frontaliers, l’île de Jerba et le reste du littoral.

    Les côtes, favorable à une vie maritime active, ont accueilli, il y a plus de trois mille ans, les premiers comptoirs puniques à Zarzis, Jerba et Jigtis ( Boughrara), et plus tard des colonies romaines et des communautés musulmanes. A leur suite, plusieurs vagues de populations sont venues s’ajouter au « substrat berbère » des Amazighs qui ont peuplé la Tunisie depuis les temps immémoriaux.

    Proche de la frontière, le territoire de Ben Guerdane, connu dès le XVIIe sous le nom de watan Ouerghemma était à la fois un lieu de conflit et de brassage entre confédérations tribales berbères et tribus arabes d’origine hilalienne.

    Plus à l'Ouest, Medenine, érigée en chef lieu de caïdat, pendant la période ottomane, a vu s’élever, sous le protectorat français, des ksour de plaine qui ont contribué à marquer le territoire.

    Vers le Nord, la ville de Zarzis, l’ancienne Gergis peuplée depuis le XVIe s par la tribu Accara qui serait originaire du Sahara occidental, s’est élevée sur les vestiges des monuments romains dont la majorité est aujourd’hui ensevelie.

    Dans le golfe de Gabès, l’île de Jerba, l’ancienne minex, l’île des lotophages, a été rendue célèbre dans le monde antique grâce à la description qui en a été faite dans l’Odyssée d’Homère. Selon la tradition locale, Jerba a accueilli une petite communauté juive qui a quitté le Levant après la destruction par Nabuchodonosor en 586 av J.C du Temple de Solomon, dont quelques pierres auraient servi à la construction de la synagogue de la Ghriba.

    Au VIIe s, les habitants de Jerba, fraîchement islamisés, adhèrent à l’Ibadhisme, « shisme » Kharéjite qui a marqué en partie l’identité locale. L’Ibadhisme s’est perpétré grâce à un système de gouvernance locale menée par les cheikhs locaux ou « Azzaba ».

    L’identité plurielle de Jerba, incarnée par le style de vie, l’artisanat local, la poterie, les lieux de culte, les fondouks et les « menzels » , confère au patrimoine culturel jerbien un caractère spécifique qui a justifié la demande faite en 2019 par la Tunisie d’inscrire Jerba sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco .



  • En étant setriux qui peut nous dire pourquoi la Tunisie et l'Égypte a eu un taux très élevé d'arabisation , et le Maroc beaucoup moins

    On va dire dans l'ordre Egypte Tunisie lybie Algérie Maroc

  • C’est parce que le Maghreb orientale a résisté à la vague d’islamisation causant ainsi l’arabisation, à la différence des berbères du Maghreb occidentale qui ont adopté l’Islam pour éviter l’arabisation et ainsi conserver leurs identités.

  • En étant setriux qui peut nous dire pourquoi la Tunisie et l'Égypte a eu un taux très élevé d'arabisation , et le Maroc beaucoup moins

    On va dire dans l'ordre Egypte Tunisie lybie Algérie Maroc

    La Tunisie est plus arabisee que l'Égypte , les Egyptiens n'arrivent même pas a prononcer la lettre ق en arabe , l'Algérie et le Maroc sont des pays montagneux et n'ont jamais été contrôlés par les arabes de façon continue comme pour la Tunisie

  • merci :thumbup:

  • En étant setriux qui peut nous dire pourquoi la Tunisie et l'Égypte a eu un taux très élevé d'arabisation , et le Maroc beaucoup moins

    On va dire dans l'ordre Egypte Tunisie lybie Algérie Maroc

    pourquoi cette fausse idée que les pays de l'orient maitrisent mieux que nous la langue arabe?

  • pour moi les tunisiens sont ceux qui méprise le mieux la langue arabe, a part Tunis capital (les tunisiens qui chante quand ils parlent ^^) comme disait une voisine algérienne ^^

    Les gens du sud-est c'est pire. Quand ils commencent une phrase t'as Ouled Jouini qui chantent avec eux.

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